C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de extant dans 7FMR 
4 attestations 
 Page /1 

[1] Sur ce que les habitans de Caen avoient presenté lettres à la Court pour renvoier certeinne cause ceans introduite entre lesdiz habitans, d'une part, et Bertran Campion, d'autre part, pour occasion d'une certeinne hale extant à Caen, que ledit Campion maintient, avecques une place ou lesdiz habitans avoient fait asseoir une croix, à lui apartenir, et eust empetré lettres au contraire ledit Campion que la Court cogneust de ladicte cause, et y eust eu divers mandemens tant de bouche que par lettres patentes, finablement, après ce que les presidens ont adverti le Roy des ordonnances royaulx contre telx lettres et mandemens, le Roy a mandé et envoié lettres patentes par IJ foiz, par lesquelles welt avoir la cognoiscence de ladicte cause en son Conseil, et pour ce, veues icelles lettres, les ordonnances, et tout consideré, la Court a dit aux parties qu'elle ne cognoistra point de ladicte cause, si feront ajourner l'une l'autre partie, se bon leur semble, par devent le Roy. (BAYE, II, 1411-1417, 96)
[2] Maistre Robert Mauger, presidens premier ou Parlement, absent le Chancellier et extant avecques le Roy à Rouan en expedition, tint le Parlement, presensmaistres S. de Nanterre, P. Le Fevre, presidens, les evesques de Paris, de Luçon, de Meaux, d'Albit, de Coustances, de Chartres, l'abbé de S. Deniz, m. H. de Savoisy, N. Fraillon, P. de l'Esclat, maistres des Requestes de l'Ostel, maistres N. d'Orgemont, G. Le Clerc, maistres en la Chambre des Comptes, et les autres maistres des IIJ Chambres de Parlement, et furent leues les ordonnances à huiz cloz touchans lesdiz maistres de Parlement et les huissiers, et les huis ouvers celles qui touchent les advocas et procureurs et les parties qui ont à faire oudit Parlement, et firent le serment acoustumé les advocas et procureurs, auxquelx fu enjoint qu'ilx preissent les ordonnances qui leur touchent, puiz se partirent advocas, procureurs et parties, hors les procureur et advocas du Roy qui demourerent en la Chambre, et firent aucunes requestes: La premiere, qu'il fust pourveu sur les finances qui, sans mesure, se wident et de pieça hors du royaume, tant à Court de Romme où l'en a acheté arceveschiez et eveschiez et autres benefices, sans distinction, comme au inquant, ce savans mesme les princes et gouverneurs du royaume et ce voians. (BAYE, II, 1411-1417, 220)
[3] De che dist saint Augustin ou .Xe. livre de la Trenité : «Nul ne doit reprendre chelui qui demande des choses divines se toutefois, extant tres ferme en la foy, quiert ou fait question de la chose tres dificile a congnoistre ou en parler. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 141)
[4] De cestui parle Josephus, desinit: " Abraham quoque paranti Iudeorum fuisse domicilium post ea quod Mesopotamie sedes relinquit eiusque posteros huic ad Egiptum esse profectos quorum eciam nunc monumenta extant in eodem civitate per optimo marmore liberalium fabricata. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 20)

Fermer la fenêtre