C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de eut dans 7FMR 
1403 attestations 
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[1] Et le peuple appellé Scite, en la guerre qu'il eut avecques le roy Daire de Perse, se mist tousjours en fuyte jusques ad ce qu'il vint au lieu ou estoient les sepultures de leurs peres et predecesseurs, et illec se combatirent jusques a la mort, comme ceulx qui pitié naturelle de leurs parens et païz contraignoit a resistence et a garder le lieu de la naissance et sepulture de leurs lignees. (CHART., Q. inv., 1422, 12)
[2] " Adonq se teut, Car tout le cuer serré et dolent eut Ne ses lermes contretenir ne peut. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 191)
[3] " A tant se teut Celle qui le cuer dolent eut, Ainsi que bien le ramentut, Maiz alors plus parler ne peut; (CHART., L. Dames, 1416, 253)
[4] Oncques ne sceut Que fut joie ne point n'en eut; (CHART., L. Dames, 1416, 296)
[5] Tout ainsi que es choses sensibles et es especes, es apprehencions, es vertus et es aages il ait ordre et mesure, et par successions se reduisent à fins, comme l'omme en soy au regart des basses substances soit chose moult perfaitte, car, si comme Aristote dit ou Livre des secrez, quant le tres hault, c'est Dieu le glorieux, eut proposé faire homme pour ce qu'il fust à sciences dispost, son corps constitua ainsi comme une cité et l'entendement il establi son roy et l'assist ou souverain lieu de lui, etc., et aussi ou LIIIe, que on nomme Des bestes, il le dit la plus tres haulte des choses si cogneues, car, si qu'il est là dit, les parties de lui sont disposées à la equippollence des assietes du monde, pour quoy, comme homme soit si notable chose que chascun soit un roy et chascun soit un monde, fu comme neccessaire establir ordenances, c'est assavoir lois telles que non pas seulement en ensuivant l'ordre de l'univers, lequel est un tout seul monde, et homme est plusieurs, pourle bien et utilité de chascun, ceulz, qui seroient rebellés par sauvages coustumes, fussent ramoderez des limes de raison ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 31)
[6] le roy avisant cellui endormi et froit ou fait de la chevalerie le deposa de la conestablie et conseil eut d'eslire autre nouvel, lequel sage et propice sur tous autres estoit en l'exercite d'armes ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 185)
[7] aussi comme droit fort ne s'orgueillisoit pour quelconques prosperité, et qu'il soit ainsi appert par ce que en l'an mil .IIIcLXXV., ouquel an et devant maintes belles victoires ot eues sur ses anemis, et ja soit ce que par tous les lieux, où il avoit guerre par terre et par mer fust plus fort que les Anglois par l'aide de Dieu et sa bonne deligence, et eut toutes choses à son avantage, et eust moult grant navire sur mer tout bien garni de gens d'armes et d'arbalestiers, toutefois, par le moyen de notables prelaz de sainte Eglise, pour l'amour de Dieu, du bien de paix, et de compassion du peuple, se consenti à traittié de paix, laquelle fu pourparlée entre les .II. roys ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 213)
[8] Encore que le roy Charles tres ameur et desireux du bien et proffit commun fust vray prudent, et des choses au mieulx faisables eut clere cognoisscence,appert par la grant providence et avis qu'il avoit aperceu sus le bien et utilité de la cité de Paris, et meismement de grant part de son royaume, en ce que, comme il considerast à Paris, pour la grant quantité des gens et divers peuples, princes et aultres, qui, pour cause que là est le siege principal de sa noble court, arrivent de toutes pars, les vivres, au regart de la poissance du menu peuple, et aussi contre le proffit de tous, n'y estre si grant marchié comme en mains aultres lieux de son royaume, comme vers les parties de Bourbonois, et de Nyvernois, et ailleurs, tant que la riviere de Loire s'estent et celle d'Alier, lequel pais est moult fertil et habondant de tous vivres, comme assez est sceu, et que à grant marchié y sont parce que on ne les peut par deçà porter fors à charroy mener, qui est trop costeux, que il feroit fossoier la terre de tel large et perfonder et en tel adrece que la ditte riviere de Laire peust prendre son cours jusques en la riviere de Seine et porter navire qui venist jusques à Paris ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 25)
[9]Cy dit le sage avis que le roy Charles eut contre la cautele d'un de ses officiers. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 76)
[10] Aussi ung chascun des autres elemens eut ung philosophe qui le jugia premier. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 72)

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