C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de eue dans 7FMR 
120 attestations 
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[1]A l'enfent estoit grant chevance Par la mort de son pere escheue, Maiz de son honneur et vaillance Avoit il petite part eue. (CHART., D. Her., p.1415, 422)
[2] Ilz se rejouissent en la lecture et interpretation faulse, et leurs predecesseurs ont ja eue la joie du vray fruit. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 109)
[3] O combien lamentable et perilleuse au royaulme fut l'injure et destitution honteuse de si grant prince, se l'onneste reparation ensuyant n'eust eue! (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 144)
[4] .Vc. ans et .LXIIII. Ot duré d'Arges, sans rabatre, La seigneurie, qu'elle ot eue, Quant par Perseüs fu vaincue ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 277)
[5] " Thideüs, qui fu moult lassez De la peine, qu'ot eue assez, Se hasta tost de chevaucher, Car moult desire a approcher De la cité d'Arges, sanz doubte, Car de trayson trop se doubte, Si ne va mie seurement, Et navrez estoit durement. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 308)
[6] .CCC. ans ja duré avoit Romme, qui chacun jour croisçoit, Et ja fu moult sa gloire acreue, Par la gouvernance, qu'ot eue, Plus sage que autre terrïenne. , Car de trayson trop se doubte, Si ne va mie seurement, Et navrez estoit durement. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 194)
[7] grant joye ont eue ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 232)
[8] Et pour ce, avec les choses dessus dictes, tres noble et tres redoubté prince, non obstant que assez me soit magnifeste que ta belle juenece flourissant en bien que Dieux par sa grace vueille tousjours augmenter et acroistre de bien en mieulx, ait esté le temps passé et dès premiere enfance et soit par chascun jour amonnestée et duite en toutes bonnes meurs et vertus louables par bons, loyaulx, et sages, nobles preudesomes que as environ toy que ta noble nature, à ce incliné, a tres bien retenu, neantmoins moy, ta creature, laquelle autre chose n'occupe en solitaireté ne mais labour d'estude, à celle fin que la joye par toy et de toy eue et encommencié nous puist estre durable en toy veant revestu entierementdu droit habit royal, c'est assavoir de l'aournement qui à ta tres noble haultesse aduit et appartient, ay cueilli aucunes fleurectes souefves et belles ou champs des escriptures pour te faire chappel à aourner le chief de ta plaisant juenece, lesquelles dictes fleurectes sont yssues des germes entre les autres nobles plantes de VIJ. principaulx racines de vertu dont la premiere et de laquelles les autres naissent et viennent a nom de prudence. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 63)
[9] Encores à toy et de rechief, si que dessus, tres noble et excellent prince, dis que apres la premiere joie de moy eue à cause de la paix faicte l'année precedent entre ceulx de ton sang, si que dit est devant, delaissié mon joyeux chant au premier encommencié et continué jusques en fin de la premiere partie de cestui volume pour ce que matiere de paix, dont je intitulay le present livre, m'estoit faillie par l'occasion de gent mauconseilliéz et d'iceulx populaires et vile gent par cui conjuraison et conspiracion le bien de paix a esté puis troublé. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 90)
[10] Et pourtant en ta personne, qui bien en a eue sa part, je parleray à toutes semblablement, en faisant mon devoir par moien d'escripture, selon mon petit savoir et congnoissance, de te ramentevoir aucunes raisons à propos prises et puisiées tant en hystoires approuvées comme es Saintes Escriptures, qui te pevent et doivent mouvoir à restraindre et delaissier l'effusion de lermes, qui par grant douleur souvent habondent sur ta face à cause de la perte de la chevalerie françoise et pour la grant quantité des tres nobles et dignes princes royaulx de France, si prouchains et affins de ton sang, que mors ou pris, comme mary, filz, pere, cousins germains, que ducs, que contes, et tant haute gent, t'en trouver seule et desnuée, quoyque, la Dieu grace, tous sans reprouche ains tres honnorablement, des trespassez, les uns naturelment comme catholiques en fin glorieuse et congnoissance de leur createur, tres crestiennement et en grant humilité, les autres contre les ennemis anglois assaillans d'une part et eulx deffendeurs de l'autre, avec les martirs de Dieu esleus en la juste deffense par bataille, fais obeissans jusques à la mort pour justice soustenir et le droit de la couronne françoise et leur souverain seigneur, desquelz et pour lesquelz et leurs semblables dit l'Euvangille: Beneurez sont ceulx qui seuffrent pour justice. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 18)

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