C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
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[1] Qu'est devenue la constance et loyauté du peuple françois, qui si longtemps a eu renom de perseverer loial, ferme et entier, vers son naturel seigneur sans querir nouvelles mutacions? (CHART., Q. inv., 1422, 14)
[2] Voulsist Dieu que chascun eust toujours eu le bien publique et l'onneur de la seigneurie devant les yeulx et que les couraiges y eussent esté fermes et arrestez comme ilz doivent. (CHART., Q. inv., 1422, 30)
[3] Ceste tresscandaleuse faulte est venue de plus haut que de toy ne de moy, quant ceulx qui ont eu a departir les guerredons des biensfaiz et des honneurs les ont donnez aux robes et aux apparences de dehors, dont chascun a prins tele instruction que fort est de congnoistre l'estat des hommes a leurs habiz ne de choisir ung noble home d'avec ung ouvrier mecanique. (CHART., Q. inv., 1422, 41)
[4] Neantmoins a eu la seigneurie mestier jusques cy de prince saichant et de assistence de gens qui aient savoir. (CHART., Q. inv., 1422, 47)
[5] De ce se peult ensuivre que savance et constance ont mestier a qui se veult tirer de perverse fortune, et nous, qui en tel estat sommes, en avons eu et avons bien besoing de plus que Dieu ne nous en donne et que nous n'en desservons; (CHART., Q. inv., 1422, 49)
[6] Si sçay trop mieulx qu'en doit valoir le pris Ne d'en parler ne doy estre repris, Car a chier coust l'ay a l'essay apris Mainte sepmaine, Et n'ay pas eu tousjours la teste saine. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 165)
[7] Mais qui acquiert en douleur chose chiere, Plus a de bien et de joyeuse chiere En sa comqueste (sic) Et lui semble plus hault et plus honneste Le bien qu'il a a paine et a requeste, Et en maine plus de joye et de feste Et mieulx le prise Que s'il l'eust eu tout a sa belle guise, Car Nature a en nous ceste loy mise Que mieulx nous plaist chose a dangier conquise. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 166)
[8] Moult eu envie De leur tresgracïeuse vie Qui en joie sembloit ravie Et de suffisance assouvie. (CHART., L. Dames, 1416, 204)
[9] n'oncques depuis Mon enfance n'eu fors ennuis, Et en amours Courte joie et longues doulours. (CHART., L. Dames, 1416, 207)
[10] Ainsi m'en alay En penser que jamaiz ne lay, Et en un val ou j'avallay Apperceü Les dames qu'eu premier veü; (CHART., L. Dames, 1416, 208)

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