| [1] | Et veïz deux lettres escriptes de la main de monsr d'Urfé, grant escuyer de France, qui, pour lors, estoit serviteur du duc de Bretaigne, l'une adressante au roy d'Angleterre et l'autre à monsr d'Estingues, grant chambellain d'Angleterre, qui, entre autres parolles, disoient que ledict duc de Bretaigne feroit plus d'exploict en ung moys par intelligence que l'armée des Anglois et celle du duc de Bourgongne ne feroient en six, quelque force qu'ilz eussent. (COMM., II, 1489-1491, 11) | | [2] | Avecques luy estoit le duc de Clarance, son frère, le conte de Northonbelande et aucuns autres seigneurs, son chambellan appellémonsr d'Estingues, son chancellier et autres, et n'en y avoit que trois ou quatre habilléz de drap d'or pareil dudict roy. (COMM., II, 1489-1491, 63) |
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Attestation de 