| [1] | Si m'en alai en un destour, Et la fis je de ma tristour Et de Fortune une compleinte, Par qui ma joie estoit esteinte. (MACH., R. Fort., c.1341, 133) | | [2] | Mais outre ce que j'ay dit touchant l'immortalité de l'ame qu'ils croyent : le tonnerre dont ils sont espouvantez, et les diables et esprits malins qui les frappent et tourmentent (qui sont trois poincts qu'il faut premierement noter) je monstreray encor en quatrieme lieu, nonobstant les obscures tenebres où ils sont plongez, comme ceste semence de religion (si toutesfois ce qu'ils font merite ce titre) bourgeonne et ne peut estre esteinte en eux. (S746, 395) |
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Attestation de 