C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de espois dans 7FMR 
3 attestations 
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[1] Et le premier cor qui est emprés les mules s'apelle antoillier, et le segont surantoilliers, et les autres chevilleüres ou cors, et ceuls du bout de la teste s'apellent espois. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 61)
[2] Et, quant il se brunissent, il fautrent premier comme un cheval du pié, et puis se voutrent come un cheval, et lors brunissent il leurs testes, leurs antoilliers et surantoilliers, espois et, brief, toutes leurs perches et chevilleüres. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 61)
[3] Einsi que les cerfs fierent des antoilliers dessoubz, ilz fierent des espois dessus, mes ilz ne font mie si grant coup comme un cerf, mes ilz font plus grant paour aux alanz et aux levriers quant ilz voyent leur diverse et merveilleuse teste. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 67)
[4] Lebouc aussi sera de pris s'il n'a passé cinq ans, par ce que facilementà raison de sa chaleur excessive il envieillist, qui a lecorps grand, jambes grosses, le col plein et court, les aureillespendantes et grandes, la teste petite, le poil noir, espois, netet long. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 28 r°)
[5]L'Olivier ne vient sans grand soing et labeuren ces païs septentrionnaux, à raison de la froideurde l'air, parce qu'il demande un air chaudet temperé, ains si tu veux planter olivier enton parterre, esliz un lieu tourné au Midy etassez haut eslevé qui soit de bon gueret, audessous argilleux, et par dessus meslé de sablon et de croye,espois, moitte et non maigre, auquel planteras environ lamy Mars des rejettons et branches nouvelles, belles et fertiles,arrachees des rameaux de l'arbre, grosses comme le poignet,et longues d'un pied et demy, et les poseras en terre, demesme façon qu'elles estoyent en l'arbre, le bout d'embas enbas, et celuy d'enhaut tourné et regardant au ciel, commequand elles estoyent en l'arbre : car si tu les mets renversees enterre, elles prendront à grand peine : et si elles prennent, demeureronttousjours steriles, les faudra enduire tant au piedqu'à la teste, de fien meslé avec cendre, et les poser en terreavec telle profondeur, que par dessus il y ait quatre doigts deterre menue : ne les transplanteras avant cinq ans, mais cependantles faudra fouïr tous les mois, fumer de fien de chevreen automne : arrouser d'eau de pluye plustost que de fontaine,puys, ou riviere : quelquesfois esmonder des branchessuperflues, et principalement des jettons secs et arides : taillernon plustost que huit ans, et apres de huit ans en huit ans : arrouserquelquesfois le pied des puissans oliviers de la lie d'olives,pour les garder des vents ou autres vermines, qui sontsouvent molestes à ceste plante : les defendre du bestial, principalementdu broutement de la chevre, qui la rend du toutsterile. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))
[6]L'Olivier ne vient sans grand soing et labeuren ces païs septentrionnaux, à raison de la froideurde l'air, parce qu'il demande un air chaudet temperé, ains si tu veux planter olivier enton parterre, esliz un lieu tourné au Midy etassez haut eslevé qui soit de bon gueret, audessous argilleux, et par dessus meslé de sablon et de croye,espois, moitte et non maigre, auquel planteras environ lamy Mars des rejettons et branches nouvelles, belles et fertiles,arrachees des rameaux de l'arbre, grosses comme le poignet,et longues d'un pied et demy, et les poseras en terre, demesme façon qu'elles estoyent en l'arbre, le bout d'embas enbas, et celuy d'enhaut tourné et regardant au ciel, commequand elles estoyent en l'arbre : car si tu les mets renversees enterre, elles prendront à grand peine : et si elles prennent, demeureronttousjours steriles, les faudra enduire tant au piedqu'à la teste, de fien meslé avec cendre, et les poser en terreavec telle profondeur, que par dessus il y ait quatre doigts deterre menue : ne les transplanteras avant cinq ans, mais cependantles faudra fouïr tous les mois, fumer de fien de chevreen automne : arrouser d'eau de pluye plustost que de fontaine,puys, ou riviere : quelquesfois esmonder des branchessuperflues, et principalement des jettons secs et arides : taillernon plustost que huit ans, et apres de huit ans en huit ans : arrouserquelquesfois le pied des puissans oliviers de la lie d'olives,pour les garder des vents ou autres vermines, qui sontsouvent molestes à ceste plante : les defendre du bestial, principalementdu broutement de la chevre, qui la rend du toutsterile. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))
[7] Quattre filz d'amiral lui alloient lanchant Espees et espois et maint coutel trenchant. (tfa0, 48)

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