[1] | Et en medicinec'est legiere chose a savoir ce que il est dit du miel et du vin et de elleboreet de cauteres et de incisions. (ORESME, E.A., c.1370, 322) | [2] | Ou nous voulons faire vomite par ellebore, les corps doivent estre purgiezlegerment par dessus; (SAINT-GILLE, A.Y., 1362-1365, 72) | [3] | il esconvient que telz corps, avant qu'ilz boivent ellebore,soient fais moistes par grant nourrissement et par grant repoz. elleboreet de cauteres et de incisions. (SAINT-GILLE, A.Y., 1362-1365, 72) | [4] | Quant aucun a pris ellebore, faire exerciter et mouvoir et ne laissierdormir ne reposer; (SAINT-GILLE, A.Y., 1362-1365, 73) | [5] | Quant tu vouldras faire ellebore purgier mieulx, si fay le cors mouvoir; (SAINT-GILLE, A.Y., 1362-1365, 73) | [6] | Ellebore est perilleux aux corps qui ont saines chars, car il fait spasmer. ne reposer; (SAINT-GILLE, A.Y., 1362-1365, 73) | [7] | Spasmus qui vient de ellebore chose mortel. saines chars, car il fait spasmer. ne reposer; (SAINT-GILLE, A.Y., 1362-1365, 80) | [8] | Autrementdeschaussez les si tost qu'ils auront fait germe, et les fumez enpied d'environ deux onces d'ellebore, ou verate noir destrempéen eau : puis les recouvrez. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 44 v°) | [9] | Chasseras les rats champaistres, si tu jettes durant les jourscaniculaires en leurs cavernes de la graine de figue, avec elleboreet farine d'orge : ou bien si tu ferme l'entree de leurs cavernesavec fueilles de laurier, à fin que quand ils voudrontsortir, ils viennent à prendre avec les dents lesdittes fueilles,car par le seul attouchement, ils en sont tuez. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 56 r°) | [10] | Chasseras les rats champaistres, si tu jettes durant les jourscaniculaires en leurs cavernes de la graine de figue, avec elleboreet farine d'orge : ou bien si tu ferme l'entree de leurs cavernesavec fueilles de laurier, à fin que quand ils voudrontsortir, ils viennent à prendre avec les dents lesdittes fueilles,car par le seul attouchement, ils en sont tuez. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 56 r°) |
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