C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de e dans 7FMR 
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[1].E. faut avec mettre, Plus n'y affiert autre lettre. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 20)
[2] ITEM, recommencié l'euvre en la II.e partie le III.e jour du mois de septembre, apres les convenances de paix rejurées en la ville de Pontoise et que noz seigneurs de France s'assemblerent à grant joye et paix à Paris en l'an de grace mil IIII. cent et treize. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 57)
[3] ITEM, recommencié l'euvre en la II.e partie le III.e jour du mois de septembre, apres les convenances de paix rejurées en la ville de Pontoise et que noz seigneurs de France s'assemblerent à grant joye et paix à Paris en l'an de grace mil IIII. cent et treize. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 57)
[4] Et parle de rechief la dicte II.e partie à louenge et bien de paix à l'ennortement dudit Monseigneur de Guienne et de tenir les princes en amour et la chevalerie sur III. vertus, c'est assavoir justice, magnanimité que on dit hault corage, et force, en donnant exemples de son ayol le roy Charles quint. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 57)
[5] ITEM, la III.e partie parle de bien gouverner le peuple et la chose publique sur III. autres vertus, c'est assavoir clemence, liberalité, et verité. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 57)
[6] la IJ.e, le temps avenir pour y pourveoir ; (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 67)
[7] et la IIJ.e, l'estre du temps present pour bien se disposer. chose publique sur III. autres vertus, c'est assavoir clemence, liberalité, et verité. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 67)
[8] ITEM, les laiz du conseil qui est le IIIJ.e estat doivent estre bons preudesommes de bel estat et bon vie, soient bourgois ou autres, sages et prudens, lesquelz aient frequenté en leur vie gens de divers estas et offices, tant de finance comme de fait d'escriptures et lectres royaulx et de justice, si qu'ilz soient tous stilléz de fait de finances et de comptes, et generalment de tout ce qui y appartient, et yceulx conseilleront le prince es voies bonnes, justes, loyalles et licites à son prouffit de fait de finances et comment sur les receptes et revenues de son royaume ou pays pourra estre, pourveu qu'il n'y soit baretéz, et en tout ce qui y touche, bien et bel l'adviseront, mais bien se garderont se preudesommes sont et de conscience, de lui mectre au devant quelconques voie de traire argent estorcionnairement ne hors droit, car à leur grant charge seroit, et ycelz gens sont ydoinés es dis offices de finances et des comptes. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 77)
[9] Mais comme il n'appartiengne au vray serviteur amer de tel amour, avons pour ce dit que la IJ.e condicion qui lui affiert est loyaulté. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 84)
[10] la IJ.e que elle ara les leuvres closes pour taire son secret, comment qu'il soit ne pour mourir ou tout le monde gaingner ne le reveleroit ; (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 85)

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