C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de durans dans 7FMR 
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[1] lesquelles treves durans, il fist tant qu'il mist lui et son ost hors deperil. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 50)
[2] Je sui Mesure mesurée, En tous bons fais amesurée, Et aussi sui je mesurans, Ferme, seüre, et bien durans A ceuls qui vuelent sans ruser Justement de mesure user; (MACH., J. R. Nav., 1349, 259)
[3] Si furent chil signeur, les trois jours durans la grignour partiedou jour en conclave ensamble, et missent pluisseurs devises et pareçons avant, desquelles nulles ne vinrent a effec. (FROISS., Chron. D., p.1400, 832)
[4] Vierge, ne soiez endurans Qu'il soit plus en mon corps durans. (Mir. femme roy Port., c.1342, 189)
[5] Et comment aucunes devotes creatures pensans en la vierge Marie et considerant contemplativement les grans joies qu'elle pouoit avoir durans les sains misteres qui furent en l'Annunciacion, en la Nativité, en l'Ascencion Jhesu Crist et autres, qu'ilz ont mises en .XV. joies, ou nom et pour l'onneur desquelles pluseurs bons catholiques ont fait pluseurs belles oraisons et devotes d'icelle saincte vierge Marie, moy aussy, pensant et considerant le fait de mariage ou je ne fu oncques, pour ce qu'il a pleu a Dieu me mectre en aultre servage hors de franchise que je ne puis plus recouvrer, ay advisé que en mariage a .XV. serimonies, selon ce que je puis savoir par l'avoir veu et ouy dire a ceulx qui le scevent, lesquelles ceulx qui sont en mariage tiennent a joies, plaisances et felicités et ne croient nulles aultres joies estre pareilles, mais selon tout entendement celles .XV. joies de mariage sont a mon avis les plus grans tourmens, douleurs, tristesses et maleurtez qui soient en terre, esquelles nulles autres paines sans incision de membres ne sont pareilles a continuer. (Quinze joies mar. R., c.1390-1410, 4)
[6] L'ystoire dit que les freres se rafreschirent et leurs gens et s'entrefirent grant joye les trois jours durans. (ARRAS, c.1392-1393, 221)
[7]3) Si fu ainsi que, quant li legat des Samniciens retournerent de Romme ou l'en les avoit tramis pour restituer les biens que l'en avoit pris des Rommains ou de leurs compaingnons durans les aliances et il ne peussent avoir impetré pays, cilz empereres parla ainsi et si dist aus Samnites: "Seigneur, dist il, je veul que nulz de vous ne cuide que par ceste legacion l'autrier tramise a Romme aucune chose pourfitable n'ait esté faite; (BERS., I, 9, c.1354-1359, 1)
[8] Nous avons oy la supplication de nostre amé et feal chevalier et chambellan Jehan, seigneur de Bethencourt et de Grainville, contenant que comme certaine guerre et deffialles feussent pieça meues entre Jehan et Colin de Criquebeuf, escuiers, freres, ou l'un d'eulz, d'une part, et Thomas Dentre, escuier, d'autre part, durans lesquelles guerres et deffiailles les diz de Criquebeuf eussent tant fait qu'ilz eussent pris le dit Thomas et yceluy mené ou bon leur sembla; (6205, 390)
[9] Cedit jour, maistre Guillaume Le Clerc, conseiller du Roy ceans, ou nom de lui et de maistre Gautier Ponce, aussy conseiller du Roy ceans, en la presence de Pierre Simon, procureur de messire Loiz de Poitiers et de dame Katherine de Giac, sa femme, et de Vital Torencha, procureur du seigneur de Tournon, a exposé que comme aient vacqué par pluseurs jours à l'execution de pluseurs arrests de ceans par lesdiz Loiz et sa femme contre ledit de Tournon, dont leur est deue la somme de CCCC et VIII frans, dont s'est obligié ledit Tournon envers eulx à paier dedans la St-Jehan prouchain venant, et aient promiz de determiner par la deliberation d'aucuns des seigneurs de ceans au landemain de Quasimodo prouchain, ou d'en faire ordonner par la Court, et il n'aient pas eu temps d'en ordonner ou faire ordonner par icelle Court, et pour avoir adviz avec lesdiz seigneurs ait assembler durans les festes de Pasques derrienes et depuiz pluseurs desdiz seigneurs comme commissaires, lesquelx y ont vaqué sans avoir satisfaction, et ancor ait pluseurs choses à parfaire, pourquoy ont requiz lesdiz procureursqu'il paiassent et contentassent lesdiz seigneurs de ce qu'il y ont vaqué, et aussi leur respondissent de ce qu'il y vaqueroient, disans que à eulx ne tenoit pas qu'il n'eussent leur droit audit jour, pourquoy protestent que se par lesdiz procureurs ou leurs maistres tenoit que il ne peussent ordonner desdiz debas, que ce ne leur soit imputé qu'il ne se puissent faire paier dudit de Tournon audit terme, car il estoient prests de faire ce qu'il appartendroit avec lesdiz seigneurs et faire ce qu'avoient promiz, maiz qu'il feissent que lesdiz seigneurs y voulsissent entendre, en les contentant, comme dit est. (BAYE, I, 1400-1410, 227)
[10] Cedit jour, le Roy nostre Sire, presens messeigneurs de son sanc, c'est assavoir, le roy de Sicile, les ducs de Guienne, ainsné filz du Roy, de Berry, son oncle, d'Orleans, son nepveu, et nagueres mary de la feu Royne d'Angleterre, fille du Roy, de Bourbon, les contes d'Alençon, de Vertus, d'Eu, le duc de Bar, les contes de Vendosme, de Marle, de Tancarville et pluseurs autres barons, chevaliers, escuiers et autres seigneurs, les arcevesques de Sens, de Bourges, evesque de Noion, les conseillers du Roy, tant de son Grant Conseil comme de Parlement, le recteur et pluseurs maistres de l'Université, le Prevost des Marchans et les eschevins, et pluseurs bourgoiz de Paris et grant foison pueple, tint son lit de justice en sa Chambre de Parlement, et par la bouche su Chancellier cassa, revoca, adnulla, abolit et mist du tout auneant certeinnes lettres appellées edits, signées par maistre Guillaume Barraut, lors secretaire du Roy, qui s'estoit absenté, par lesquelles le Roy avoit ordonné par lesdictes lettres qui avoient esté surrepticement et obreptissement empetrées, et non deument en Conseil et le Roy inadverti, que tous offices, maladeries, administrations ou capitennies qui avoient esté données durans les broillis qui puiz IIJ ans ont esté en ce royaume, que par avant tenoient ceulx qui estoient avecques le duc d'Orleans, ou qui lui avoient esté favorables, confortans ou aydans, ou s'estoient absentez, et aucuns leurs demourassent, non obstant oppositions ou appellations. (BAYE, II, 1411-1417, 140)

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