C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de donc dans 7FMR 
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[1] Donc pouroit il sembler que la loy de Nature, qui toutes choses soubz le ciel oblige par lien indissoluble, seroit plus parfaictement es bestes mues que en vous autres, et que vous seriez trouver plus desnaturez que elles, qui n'ont pas entendementde raison, quant les oyseaulx au bec et aux ungles defendent leurs nits et les ours et les lyons gardent leurs cavernes a la force de leurs gris et de leurs dens. (CHART., Q. inv., 1422, 11)
[2] Mais ou sont doncques ceulx qui en ces condicions chevaleureuses quierent leur renommee et leur perfection, quant ilz ne se apparoissent et mettent avant en besoigne et que entre les autres en peut on si pou choisir pour telz, donc ceulx qui bien font sont dignes de plus grant los? (CHART., Q. inv., 1422, 13)
[3] Si est faicte la guerre par gens sans terre et sans maison ou que la greigneur part, que necessité a contrains de vivre sur autrui, et nostre besoing nous a convaincus a le souffrir et encores ne nous a la penitance de ce pechié chastiez, et quant les vaillans entrepreneurs, donc, mercy Dieu, a encor en ce royaume de bien esprouvez, mectent paine de tirer sur champs les nobles pour aucun bien faire, ilzdelaient si longuement a partir bien enviz et s'avancent bien tost de retourner voulentiers que a paine se peut riens bien commencer, mais a plus grant paine entretenir ne parfaire. (CHART., Q. inv., 1422, 57)
[4] Donc je doy bien piteusement plourer. (CHART., L. Plais., c.1412, 148)
[5] Fuyez donc Mirencolie Qui toute douleur pourchace Et Plaisance du tout chace; (CHART., L. Plais., c.1412, 150)
[6] Donc est il huy que demain Plus certain De soy mettre en son demaine, Car certaine Est en cest estat mondain Qui est vain; (CHART., L. Plais., c.1412, 151)
[7] S'il a esperance Et humble souffrance Et a sa dame acointance, Donc lui puet il dire, S'il voit sa semblance, Que Pitié s'avance De mectre bonne alegance En son dur martire. (CHART., L. Plais., c.1412, 152)
[8] Or servez donc, sans jamais dessevrer, Amours, par qui grant joie ert amassee; (CHART., L. Plais., c.1412, 153)
[9] Fu je donc fait pour tel mal traire Sans avoir joye ne demie? (CHART., R. Bal., c.1410-1425, 378)
[10] Donc j'ay depuis longue peine enduree, Quant je ne voy ma doulce dame en vie. (CHART., R. Bal., c.1410-1425, 391)

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