C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ditz dans 7FMR 
161 attestations 
 Page /17 

[1] et a toy, Dieu du ciel dont ilz veullent estre ditz vicairez sur terre, laissent ilz convenir de ton Eglise. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 55)
[2] lequel, de rigle commune, quelque cause qu'il eust au contraire, estoit lors de joyeux visage, car, après le signe de la croix, et comme tres devot rendent ses premieres paroles à Dieu en aucunes oroisons, avec ses ditz serviteurs, par bonne familiarité setruffloit de paroles joyeuses et honnestes, par si que sa doulceur et clemence donnoit hardement et audace, meismes aux mendres, de hardiement deviser à lui de leurs truffes et esbatemens, quelques simples qu'ilz fussent ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 43)
[3] se jouoit de leurs ditz et raisons. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 44)
[4] Collacion fu faitte par les ditz sages assemblez sus ceste matiere, la ditte ampole veue et visetée à grant reverence et solempnité de luminaire, en laquelle, quant on la penchoit ou baissoit, on veoit clerement liqueur de sang vermeil couler au long, aussi fraiz comme se il n'eust que .III. ou .IIII.jours qu'il eust esté saingniez, laquelle chose n'est mie sanz grant merveille, consideré le long temps de la Passion ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 95)
[5] duquel dit connestable trop de biens ne pourroient estre ditz, qui oncques pour paour de mort ne ganchy, hardi comme lion et tout tel qu'à preux et vaillant chevalier apertient estre ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 186)
[6] Or soit notté se cellui, que nous disons si sage, qui est à m'entencion le roy Charles, pot avoir, avec les biens dessus ditz, la noblece d'entendement, selon ce que le desclaire Aristote, qui dit que entendement est abit des principes premiers des demoustrances, qui n'est autre choseà dire que le concept des choses veues, sceues et opinées par vraies raisons. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 19)
[7] La premiere raison, ainsi que nous veons en l'art de medecine et es autres sciences, que ceulz qui les aprenent treuvent aucunes fois meilleurs choses et plus vrayes que les ancesseurs n'ont fait, par quoy on laisse les ditz des anciens et prent on les ditz nouveaulx ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 23)
[8] La premiere raison, ainsi que nous veons en l'art de medecine et es autres sciences, que ceulz qui les aprenent treuvent aucunes fois meilleurs choses et plus vrayes que les ancesseurs n'ont fait, par quoy on laisse les ditz des anciens et prent on les ditz nouveaulx ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 23)
[9] À l'entrée de Paris descendirent à pié .XXX. sergens d'armes atout leurs maces d'argent et leurs espées en escharpe bien garnies et ouvrées, pristrent le travers de la rue, et, comme l'Empereur eust fait dire au roy que tresqu'il seroit à Paris il ne vouloit estre servi ne mès des gens du roy, en laquel garde il se mettoit, le roy lui ottroya, et pour ce ses ditz sergens, pour lui faire honneur et garder de la presse, estoient environ lui. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 100)
[10] et là, en la presence des diz clers et sages, dont grant quantité en y avoit, ouy les ditz messages, lesquelz tant l'un comme l'autre distrent la maniere comment le dit arcevesque de Bar avoit esté nommé pape, par paour et violence du tumulte des Rommains, qui crioient : «Romain le voulons ! (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 142)

161 attestations 
 Page /17 
Fermer la fenêtre