C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dict dans 7FMR 
332 attestations 
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[1] Ce dict duc de Bourbon estoit filz de la seur dudict duc Philippes, laquelles estoit veufve longtemps avoit, et estoit làavec ledict duc son frère et plusieurs de ses enfans, comme troys filles et ung filz. (COMM., I, 1489-1491, 9)
[2] Et en conclusion, quelque chose qui luy fust dict et oppiné, il delibera de ne combattre point, mais seulement se mectre dedans Paris sans soy approcher de là où les Bourguygnons estoyent logéz. (COMM., I, 1489-1491, 21)
[3] Ce povre homme qui l'avoit faict se vint gecter à genoulx devant eulx et leur dict que ç'avoit esté luy, et en gecta trois ou quatre autres. (COMM., I, 1489-1491, 42)
[4] Pour quoy, comme j'ay dict, quant on vient à telz marchéz que de traicter paix, il se doibt faire par les plus feables serviteurs que les princes ont et gens d'aage moyen, affin que leur foiblesse ne les conduysist à faire quelque marché deshonneste ne à espoventer leur maistre à leur retour plus que de besoing et plustost y empescher ceulx qui ont receu quelque grace ou bienfaict de luy que autres, mais sur tous saiges gens, car d'ung fol ne fist jamais homme son prouffit. (COMM., I, 1489-1491, 66)
[5] mais si feront, s'ilz sont telz comme j'ay dict, et qu'ilz congnoissent qu'ilz ayent maistre saige. par les plus feables serviteurs que les princes ont et gens d'aage moyen, affin que leur foiblesse ne les conduysist à faire quelque marché deshonneste ne à espoventer leur maistre à leur retour plus que de besoing et plustost y empescher ceulx qui ont receu quelque grace ou bienfaict de luy que autres, mais sur tous saiges gens, car d'ung fol ne fist jamais homme son prouffit. (COMM., I, 1489-1491, 67)
[6] Je ne dy autre chose dudict messire Charles que ce que j'en ay dict, mais meilleur serviteur n'eut point le roy pour ceste année là. (COMM., I, 1489-1491, 71)
[7] Et ledit conte de Charroloys print le chemin de Compiengne et de Noyon -- et partout luy fut ouvert par le commandement du roy -- et de là à Amyens, où il receüt leur hommaige et de ceulx de la rivière de Somme et des terres de Picardye, qui luy estoient restituées par ceste paix, desquelles le royavoit payé quatre cens mil escuz d'or, n'y avoit pas neuf moys, comme j'ay dict ailleurs icy dessus. (COMM., I, 1489-1491, 87)
[8] et m'en a esté dict en Castille paraucuns seigneurs qui y estoient avec le roy de Castille. (COMM., I, 1489-1491, 135)
[9] Le dernier endroit où je me suis teü de noz affaires de par deça a esté au departement que feït le duc de Bourgongne et devant Amyens et aussi du roy, qui, de son costé, se retira en Touraine et le duc de Guyenne, son frère, en Guyenne, lequel ne laissoit de continuer la poursuyte du mariage où il pretendoit avec la fille du duc de Bourgongne, comme j'ay dict cy devant. (COMM., I, 1489-1491, 218)
[10] mais en vouloit entretenir chascun comme j'ay dict; (COMM., I, 1489-1491, 218)

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