C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dessudiz dans 7FMR 
5 attestations 
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[1]Quant le seigneur de Saintré et celle noble et chevalereuse compaignie furent venus a Saint Denis, et faites en l'église leurs devocions, pour entrer a Paris au devant d'eulzfurent les trois seigneurs ducz dessudiz, et tant d'autres que a peine en demeura un seul. (LA SALE, J.S., 1456, 223)
[2] Disoit en oultre ledit chancelier que lesdictes deliberations des dessusdis conseilliers estans à Creeilg avec le double des advis dessudiz, par l'ordonnance du Roy, avoient esté renvoyez à Paris par devers mondit seigneur le Dauphin pour prendre en ladicte besoingne final conclusion telle qu'il appartendroit, laquelle conclusion mondit sr le Dauphin, selon l'ordonnance et mandement du Roy, vouloit eslire et prendre par le bon conseil et advis des dessudis en lez requerant qu'ilz voulsissent sur ce dire leurs advis et deliberacions pour mettre conclusions en ladicte matiere, en leur disant que pour ce ilz estoient assemblez, ou autres paroles semblables en effect. (FAUQ., I, 1417-1420, 107)
[3] et, audit desparquement faire, fraperent noz gens sur les dessudiz Flamens, desquelz en y ot bien tué IIm, et depuis furent suivis jusques bien huit lieues dedens le pays de Flandres. (ROYE, Chron. scand., II, 1460-1483, 58)
[4] Et vint le premier à lui ledit Empereur du Houx soubz feinte amiable, qui le print par dessoubz le bras icellui Petit Jehan, en le tenant fermement et lui disant qu'il n'eust point de paour des dessudiz et qu'ilz ne lui feroient point de mal. (ROYE, Chron. scand., II, 1460-1483, 59)
[5] Dont, pour revenir à [la] question et [au] debat des deux chevaliers dessudiz, la cause fut pour ce que ledit seigneur de Pesmes avoit prins d'eschelle une des maisons dudit de Chabannes, l'avoit pillée, et prins son filz aisné prisonnier, sous umbre et couleur d'aucunes querelles que ledit de Pesmes disoit avoir sur ledit de Chabannes. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 253)
[6] dont bien tost aprés il fut si triste et si dolent que, en ung concile de cent IIII vingz evesques qu'il fit assembler et celebrer, le dessusdit pape Marcelin se presenta vestu d'une haire, ayant la cendre sur le chef et, en plain concile publicquement devant les cardinaulx et les dessudiz evesques et prelatz, il confessa son peché, requist par leur jugement estre condemné à telle peine que par eulx seroit advisé. (S185, 167)
[7] Et les barons, princes et seigneurs dessudiz gouvernerent le peuple de Bretaigne pour ung temps assez doulcement et en bonne justice ; (S185, 340)

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