C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de desceu dans 7FMR 
16 attestations 
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[1] il ne l'ot pas veu, Dont il se tint moult desceu. (Mir. march. larr., c.1349, 116)
[2] Le quart chappitre Se une femme veult faire que son mari aime tous ses enfans oultre mesure si prende de l'orine de tous ses enfans a tout eaue belle et clere et par .IX. jours, au desceu de son mari, lui en face laver ses mains et son visage, et sans faulte, il les amera oultre mesure. (Ev. Quen. I, c.1466-1474, 108)
[3] La septieme euvangille Dist encoires une autre filleresse moult ancienne: Quant femme desire que son mari aime tous ses enfans oultre mesure,si prende de l'orine de tous ses enfans a tout eaue belle et clere, et par .IX. jours au desceu de son mary, lui en fache laver ses deux mains et son visage; (Ev. Quen. II, c.1466-1474, 135)
[4] Comme à la requeste du procureur du Roy en la senechaucée de Tholouse, monseigneur l'evesque d'Alby, qui à present est, et son official, et aussi le juge de sa temporalité, et son advocat et procureur etautres ses officiers eussent esté adjornez en la Court de Tholouze, soubz umbre de ce que ledit procureur disoit que ledit official avoit donné une citation contenent que à nul appartient la prinse des clers, sinon par la licence des gens d'eglise, laquelle citation ou monition ledit evesque n'eust point fait bailler, et eust esté faicte à son desceu, et la desavoua si tost qu'elle vint à sa cognoiscence; (BAYE, II, 1411-1417, 202)
[5] En oultre, sur ce que ledit chevalier avoit requis le Roy et le duc de Bourgongne de pourveoir à ladicte ville de Paris par traictié de paix, par avitaillement, avoit esté respondu que le Roy et le duc de Bourgongne avoient tousjours desiré et desiroient la paix et union de ce royaume, et en avoient fait pluiseurs diligences, et estoit leur plaisir que par deçà on advisast toutes bonnes manieres de parvenir à ladicte paix et union sans y prendre conclusion au desceu du Roy, sans son auctorité. (FAUQ., I, 1417-1420, 280)
[6] Recita en oultre comment esdictes lettres les aucuns d'entour monsegneur le Dauphin, capcieusement ou autrement, pour continuer lesdictes divisions, avoient fait escrire abstinence de deux ans, au desceu des ambassadeurs du Roy envoyez par devers mondit segneur le Dauphin, afin d'avoir abstinence de guerre par temps convenable. (FAUQ., I, 1417-1420, 291)
[7] Lequel prisonnier, après ce qu'il ot fait serement de dire verité, cogneut et confessa, sans aucune force ou contrainte de gehine, que, nonobstant les confessions cy-dessus enregistrées, par lui cogneus, la verité est tele que, lui estant en la ville de Chartres, le landemain de la feste saint George derrenierement passée, ainsi comme un pou après soleil levant, il entra en l'ostel de maistre Regnaut de Molins, chamberier en l'eglise de Chartres, ouquel hostel il avoit esté plusieurs fois et joué à la palme, et, soubz umbre de ce, entra en une basse chambre dudit hostel, en laquelle avoit un coffre tout ouvert, ouquel coffre il print le couvercle d'argent doré duquel est faite mencion cy-dessus, avec VJ escus et deux frans en or estans oudit coffre, et iceulx biens print et emporta avec soy au desceu des gens de l'ostel audit chamberier. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 217)
[8] et lors il qui parle, tempté comme dit est, print toute icelle vaissele estant sur ledit dreçoir, se parti d'icelle abbaye le plus tost qu'il pot, et au desceu des gens et serviteurs d'icelle madame l'abbesse, vint cedit jour de vendredi gesir à Pisseleu, et d'ilec alé et venu jusques en la ville de Paris, en laquele il arriva le jour d'yer, et exposa icelle vaissele en vente. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 28)
[9] Et dit que, environ XIJ ansa, il se parti du service de sondit maistre à son desceu, lui estant lors demourant en la ville d'Yppre. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 98)
[10] Et, pour ce, icelle Lucete et elle qui parle, après ces choses ainsi par entre elles ouyes et entendues, se misdrent à part en une chambre au desceu dudit de Ruilly, son mary, et illec commencerent à gemir et plourer moult fort et tendrement, et de la maladie dudit de Ruilly, son mary, penserent moult fort quel remede et conseil elles y pourroient mettre pour sa garison. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 317)

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