C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de croyroit dans 7FMR 
2 attestations 
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[1] Car le pouvre homme qui auroit vraye foy et bonne et qui croyroit fermement les peines d'enfer estre telles que veritablement elles sont, qui aussi auroit prins de l'autruy à tort ou que son père l'eust prins ou son grand père, et luy le possedast, soyent duchéz, contéz, villes, chasteaulx, meubles, ung pré, ung estang, ung molin, chascun en sa qualité, et qui creüst fermement, comme le devons croire, " je n'entreray jamais en paradis, si je ne fais entière satisfaction et si je ne rends ce que j'ay d'aultruy à mon vray essient ", il n'est possible qu'il y eust roy ne royne, prince ne princesse ne autres personnes quelzconques ne de quelque estat ou condicion qu'ilz soyent en ce monde, tant grans que petitz et tant hommes que femmes vivans sur terre, qui àson vray et bon essient (comme dit est dessus) voulsist riens retenir de son subgect ou subgectz ne d'autres personnes quelzconques, soit son prochain voysin ou autre ou qui voulsist faire mourir nul à tort indeüement et contre raison ne le tenir en prison ne oster aux ungs pour enrichir les autres (qui est plus commun mestier qu'ils facent) ne procurer choses deshonnestes contre leurs parens et serviteurs pour leurs plaisirs, comme pour femmes ou cas semblables? (COMM., II, 1489-1491, 224)
[2] Car le pouvre homme qui auroit vraye foy et bonne et qui croyroit fermement les peines d'enfer estre telles que veritablement elles sont, qui aussi auroit prins de l'autruy à tort ou que son père l'eust prins ou son grand père, et luy le possedast, soyent duchéz, contéz, villes, chasteaulx, meubles, ung pré, ung estang, ung molin, chascun en sa qualité, et qui creüst fermement, comme le devons croire, " je n'entreray jamais en paradis, si je ne fais entière satisfaction et si je ne rends ce que j'ay d'aultruy à mon vray essient ", il n'est possible qu'il y eust roy ne royne, prince ne princesse ne autres personnes quelzconques ne de quelque estat ou condicion qu'ilz soyent en ce monde, tant grans que petitz et tant hommes que femmes vivans sur terre, qui àson vray et bon essient (comme dit est dessus) voulsist riens retenir de son subgect ou subgectz ne d'autres personnes quelzconques, soit son prochain voysin ou autre ou qui voulsist faire mourir nul à tort indeüement et contre raison ne le tenir en prison ne oster aux ungs pour enrichir les autres (qui est plus commun mestier qu'ils facent) ne procurer choses deshonnestes contre leurs parens et serviteurs pour leurs plaisirs, comme pour femmes ou cas semblables? (COMM., II, 1489-1491, 224)
[3] Je cuide moy qu'i vous croyroit, Vous feriez tout le monde beste. (B. veoir, p.1480, 21)

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