C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de creulx dans 7FMR 
3 attestations 
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[1] Au .VIe. an viennent les crochez dont le fons est creulx, et est le feve ou fons du creulx. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 137)
[2] Au .VIe. an viennent les crochez dont le fons est creulx, et est le feve ou fons du creulx. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 137)
[3] Savoir faisons comme ung certain procés feust ja pieça commancé par devant Jehan de Maignanville, pour lors gruyer de ladicte forest d'Yvelline, et encores est pandant pardevant nous entre le procureur de tres hault, tres excellant et tres puissant prince monseigneur le duc de Bretaigne, conte de Montfort, syrez de Rays et conte de Richemont, en sa conté dudict Montfort, d'une part, et les manans et parroissiens de la ville et parroisse des Brevieres, comparans par messire Jehan Jossellin, prieur de ladicte ville, leur procureur, d'autre part, Pour cause de ce que le procureur de mondict seigneur disoit et proposoit contre le procureur desdiz habitans que eulx, de faict, a tiltre de mal foy et sans aucune cause raisonnable, auroient couppé, prins, levé et amporté certaine et grant quantité de boys, chesnes et autres boys es boys dudict monseigneur, au lieu que l'on dit l'Estanchet et es lieulx cy dessoubz plus a plain declairés, et avecques ce avoient en iceulx boys prins et amporté par devers eulx grant quantité de fruict creulx en iceulx boys et par plusieurs foys, ce que lesdiz habitans ne povoient ne devoient faire, sicomme le procureur de mondict seigneur disoit, tandant afin que, ce lesdiz habitans des Brevieres confessent les choses dessusdictes estre vrayes, que par nous et a droit ilz fussent condannez et contrainctz a randre et restituer a mondict seigneur ledict boys et fruictz qu'ilz avoient couppez, prins, comme dit est, ausdicts boys dudict monseigneur, a l'estimation de vint livres parisis, et que de ce ilz fissent admende telle comme de raison, et se lesdiz habitans le nyoient, le procureur de mondict seigneur esforce a prouver de ces faiz ce qu'il luy porroit en suffire. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 593)

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