[1] | T. Et pour ce, est ce bien raisonnable chose de soy abandonner aus anciens et [maismement] a crere les paroles de nos anciens peres estre vraies, et que des choses qui ont mouvement aucune soit divine et immortelle, c'est a savoir que elles aient telz mouvemens desquelz ne soit aucune fin, mais que tel mouvement soit plus fin des autres qui ont fin. (ORESME, C.M., c.1377, 274) | [2] | et ce baillierent eulz par maniere de fable et n'est pas a crere. (ORESME, C.M., c.1377, 300) |
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