| [1] | Que vous en iroye contant ? (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 6) | | [2] | Aussi comme se chascun en soi parlast en contant son estre, si pouons prendre ce que Cristine dit ou .IIIIe. chappitre, comment par le cri de Fama elle estant enfant fu transportee avec ses parens ou païs d'une noble dame couronnee, peut dire la terre que ou temps de son enfance, c'est asavoir de son innorance - qui segnefie le temps ouquel loi n'estoit au monde encore donnee -, elle fu transportee par le cri de Fama - qui est a entendre par le cri des sains prophectes - a la loi de Dieu en laquelle sont toutes biautés comprises; (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 6) | | [3] | et luy dist le roy comme la paix estoit faicte et lui compta ce cas qui estoit advenu à Rouen, dont ledict conte ne sçavoitencores riens, disant le roy que, de son consentement, n'eust jamais baillé tel partaige à son frère, mais, puisque d'eulx mesmes les Normans avoyent faict ceste novalité, qu'il en estoit contant et qu'il passeroit le traicté en toute telle forme comme il avoit esté advisé par plusieurs journées precédentes. (COMM., I, 1489-1491, 81) | | [4] | De cecy n'estoit point trop contant ledict monsr Charles de France; (COMM., I, 1489-1491, 123) | | [5] | et finablement donna le roy audict duc de Bourgongne six vingtz mille escuz d'or, dont il paya la moytié contant, avant se lever du champ, pour les despens qu'il avoit faictz à mectre sus l'armée. (COMM., I, 1489-1491, 124) | | [6] | à ces parolles respondit le roy que ouy, mais que la paix fust jurée (ce qu'il desiroit), qu'il estoit contant d'aller quant et luy au Liège et d'y mener des gens, ou si petit ou si grant nombre que bon luy sembleroit. (COMM., I, 1489-1491, 145) | | [7] | mais que, s'il plaisoit au roy aller à Namur actendant que la ville fust prinse, qu'il en estoit bien contant, mais qu'il ne partiroit point de là jusques à l'issue de ceste matière. (COMM., I, 1489-1491, 160) | | [8] | Et à ceste requeste respondit le roy estre contant, pourveü qu'il luy en accordast autant pour monsr de Nevers et de Crouy. (COMM., I, 1489-1491, 165) | | [9] | Monsr de Bourgongne fut fort contant de luy, qui pour lors estoit à Sainct Omer, et m'envoya devers ledict seigneur de Vaneloc et luy donna mil escuz de pension, luy priant vouloir continuer en l'amour qu'il avoit monstré au roy d'Angleterre. (COMM., I, 1489-1491, 195) | | [10] | pour son maistre, six mil francz de pension, le gouvernement de Guyenne, les deux seneschaussées des Lannes et de Bordeloys, la capitainerie de l'ung des chasteaulx de Bordeaulx, la cappitainerie de Blaye, des deux chasteaulx de Bayonne, de Dax et de Sainct Sever et vingt quatre mil escuz contant et l'ordre du roy et le conté de Comminges. il passeroit le traicté en toute telle forme comme il avoit esté advisé par plusieurs journées precédentes. (COMM., I, 1489-1491, 241) |
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Attestation de 