C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de contans dans 7FMR 
17 attestations 
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[1] Toutesfoys audict conte arriva ce jour ou bien peu de jours après ung renfort que son père le duc Philippes de Bourgongne lui envoyoit, que amenoit monsr de Saveuses, où il y avoit six vingtz hommes d'armes et bien quinze cens archers et six vingtz mil escuz contans sur dix sommiers et grant quantité d'arcs et de traictz; (COMM., I, 1489-1491, 82)
[2] Jà sentoient-ilz le traicté depaix encommencé, et eussent esté contans de dire que ce n'estoit que contre leur evesque, lequel ilz menèrent prisonnier en leur cité. (COMM., I, 1489-1491, 132)
[3] Ilz eurent ung très mauvais jour de pluye, et en cest estat s'en retournèrent en leur ost, bien fort mal contans, murmurans contre ce connestable et l'appelloient trahistre. (COMM., II, 1489-1491, 38)
[4] et que quant ce viendroit que le roy d'Angleterre se vouldroit mectre en son devoir d'entendre au traicté, que le roy se y mettroit tant de son costé, que luy et son royaume devroient estre contans. (COMM., II, 1489-1491, 44)
[5] le roy oÿt leurs demandes et dernières conclusions: c'estoit soixante douze mil escuz, tous contans, avant que partir, le mariage du roy qui est aujourduy avec la fille aisnée du roy Edouart, laquelle est aujourduy royne d'Angleterre, et la duché de Guyenne pour la nourrir ou cinquante mil escuz tous le sans renduz dedans le chasteau de Londres, jusques au bout de neuf ans, et, au bout de ce terme, devoit le roy qui est aujourduy et sa femme joÿr pacificquement du revenu de Guyenne, et aussi nostre roy devoit demourer quicte de ce payement envers le royd'Angleterre. (COMM., II, 1489-1491, 46)
[6] Et quant il commença ceste marchandise, il s'en alloit en Italie avec quarante mil ducatz contans, qu'il avoit receüz pour imprestance, comme dit est, qui est à dire pour mectre sus ses gens d'armes. (COMM., II, 1489-1491, 141)
[7] Et quant il commença ceste marchandise, il s'en alloit en Italie avec quarante mil ducatz contans, qu'il avoit receüz pour imprestance, comme dit est, qui est à dire pour mectre sus ses gens d'armes. (COMM., II, 1489-1491, 141)
[8]Il m'a esté respondu qu'autresfois Florentins ont presté deux cens mille ducas contans au roy Ferrand et payé cinquante mille ducas tous les ans comme par tribut. (0304, 195)
[9] Mes maistres eurent de moy sans partir de la ville Mil escus tous contans, et pour autre deux mille Mes ostages retindrent ; (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 167)
[10] Le dueil si fut le lendemain plus fort, Plourer veissiez et mener desconfort Tout le peuple et tous les habitans, Criant a Dieu : " Sire, tu nous fais tort,Tu nous ostes le donjon et le fort, De la bonne nous estions bien contans, Nous de Joigny, manans et habitans, En elle avions du tout nostre fiance ". (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 184)

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