C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de confitz dans 7FMR 
6 attestations 
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[1] Pour ce, mon filz, S'au temps passé en guerre me confitz Et de proesses plus que nul aultre fis, Dorenavant, mes membres sont confitz De grant viellesse Qui me rend mact, caducque, viel. (LA VIGNE, S.M., 1496, 164)
[2] Pour ce, mon filz, S'au temps passé en guerre me confitz Et de proesses plus que nul aultre fis, Dorenavant, mes membres sont confitz De grant viellesse Qui me rend mact, caducque, viel. (LA VIGNE, S.M., 1496, 164)
[3] Rien n'y vauldront leurs visaiges fardez De plomb, d'alun, confitz en leurs canetes; (LA VIGNE, S.M., 1496, 221)
[4] Moy qui, au trosne de la divine essence De toute chose ay vraye congnoissance Et mesmement touchant Martin, mon filz, Qui en tous biens a heu perseverance, Pour ce qu'en moy remyst son esperance Depuis le jour qu'atraire je le fis, Tous ses labeurs si ont esté confitz En moy qui suis le benoist Cruceffis Et Pere et Filz, Sainct Esperit aussi Dont, congnoissant ces beaux moyens preffisA me servir depuis que le parfis, Mander luy veulx ce que vous orrez cy. (LA VIGNE, S.M., 1496, 554)
[5] Et furent tant en lïesse confitz, Que toutes haynes et discors desconfitz Lors se monstrerent pour eulx communiquer. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 162)
[6] Aussi pren aprèz, et ne muses, De pouldres, qui sont précieuses, De dyanthos et de pliris, Electuaires de hault prix,Confitz o musc, comme l'art baille, Une dragme, comme qu'il aille, Et de la pouldre réfragant De froit et fin dyadragant, Et de la pouldre, pure et nete, De bon triasandali faicte, Des deux, égalment à la foiz, Dragme et demie, à juste poiz, Et composez, se bon vous semble, De tous électuaire ensemble La conserve mise dedens, O les deux eaues précédens, Qui à ce faire valent moult, Et zucre cafatin o tout, Et partant doit et peut suffire Des antidotes, sans plus dire, Touchant la matière courant, Donc fault lessier le demourant Concernant les circonstances, Et conditions et muances De l'actuèle maladie, à la savance et industrie Des Maistres et Phisiciens, Qui visitent les patiensEt oevrent en particulier En quelque suppost singulier, Et ainsi, par Grace Divine, Parfornie est ceste doctrine, Et s'aucun, ou soit fol ou sage, Esméu de quelque courage Quant à ce faire et excité, Vouloit impugner ce dité, En affermant et en disant Qu'il n'est pas assez suffisant, Ne contenant doctrine entière Contre toute espèce et manière Des dangiers et des maladies, Lesquelz en diverses parties Aviennent pour la grant nuisance De mauvaiz air et pestillence, Il est tout vray, et le confesse Le translateur comme la Messe; (LA HAYE, P. peste, 1426, 157)

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