C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de compta dans 7FMR 
198 attestations 
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[1] Si l'ont deslïé et monté Et mené dedens li chasteaulx, Ou tout le fait compta entre yaulx. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 220)
[2] A son pere compta le fait Et cellui assavoir le fait Aux autres barons et leur dist " Qu'a grant tort, ou royaume mist Hermiedés cil qui regnoit, Et que moult bien lui souvenoit Que son frere, qui lors ert roy, Ot l'oreille, par son desroy, Tranchiee, par ses mauvais vices, Si ne fu pas frere Cambissés, Ainçois fu frere Hermiedés. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 233)
[3] et lors à ce propos lui meismes compta d'un philosophe, qui tant presumoit savoir que ildist, comme il le tenist impossible, que quant il seroit vaincus en disputaison, jamais après ne mengeroit ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 61)
[4] et luy dist le roy comme la paix estoit faicte et lui compta ce cas qui estoit advenu à Rouen, dont ledict conte ne sçavoitencores riens, disant le roy que, de son consentement, n'eust jamais baillé tel partaige à son frère, mais, puisque d'eulx mesmes les Normans avoyent faict ceste novalité, qu'il en estoit contant et qu'il passeroit le traicté en toute telle forme comme il avoit esté advisé par plusieurs journées precédentes. (COMM., I, 1489-1491, 81)
[5] J'ay sceü ces choses par plusieurs, et par especial par la bouche de messire Jacques de Sainct Pol, qui ainsi le compta au roy, quant il fut amené prisonnier, où il n'y avoit que moi present. (COMM., II, 1489-1491, 25)
[6] et luy compta les biens qu'il avoit de luy, disant: " Il ne veult sinon vivre en ces dissimulations et entretenir chascun et faire son prouffit. (COMM., II, 1489-1491, 31)
[7] Mais le roy le me compta, ne plus ne moins que je vous deïz, en ordonnant ceste veüe. (COMM., II, 1489-1491, 62)
[8] De ceste grande assemblée et nouvelle qu'il avoit faicte, j'en parle par le rapport de monsr le prince de Tarante, qui le compta au roy en ma presence. (COMM., II, 1489-1491, 117)
[9] Me compta au long sa fortune, et à mon pouvoir le reconfortay. (COMM., III, 1495-1498, 65)
[10] Entre aultres choses, me compta comme il avoit perdu le tout et, entre ses aultres malheurs, ung sien facteur estant en la ville, vers qui il avoit envoyépour avoir des draps pour son frère et luy et ledit Paul, pour cent ducatz seullement, et il luy refusa. (COMM., III, 1495-1498, 65)

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