C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de commander dans 7FMR 
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[1] Comme les haultes dignitez des seigneuries soient establies soubz la divine et infinie puissance qui les eslieve en florissant, en prosperité et en glorieuse renommee, il est a croire et tenir fermement que, ainsi que leurs commencemens et leurs accroissances sont maintenues et adrecees par la divine providence ainsi est leur fin et leur detriment par sentence donnee ou hault conseil de la souveraine sapience, qui les aucuns verse du hault trosne de imperial seigneurie en la basse fosse de servitude et de magnificence en ruine et fait des vainqueurs vaincus et ceulx obeir par crainte qui commander souloient par autorité. (CHART., Q. inv., 1422, 1)
[2] Et se commander me vouloit Aucune chose quë il loit,Ou se mon service y valoit, Y emploieroie Cuer et corps et ce que j'aroie, Et si volentiers le feroie Comme faire je le pourroie. (CHART., L. Dames, 1416, 211)
[3] Pour ce requerre Voulsisse aux dames d'Angleterre Que pour loz de pitié acquerre, Pour moy de lui vueillent enquerre Et demander Et son estat recommander, Car aucune puet commander A tel le puet bien amender. (CHART., L. Dames, 1416, 252)
[4] Du tout ainsi qu'il vous plaira A moy commander ou deffendre, Mon cueur jusqu'au partir et fendre Pour nulle autre ne vous lairra; (CHART., R. Bal., c.1410-1425, 386)
[5] Ains tousjours vous obeÿra Et vous servira sans offendre, Du tout ainsi qu'il vous plaira A moy commander ou deffendre. (CHART., R. Bal., c.1410-1425, 386)
[6] Du tout ainsi qu'il vous plaira A moy commander ou deffendre, Mon cueur jusqu'au partir et fendre Pour nulle autre ne vous lairra. (CHART., R. Bal., c.1410-1425, 386)
[7] Car aprés le duc desconfit et chetif recouvra il le povoir de commander sur la vie des legions prestes a combatre, et sur la mort de ses ennemys prouchains a desconfiture. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 139)
[8] lors de tabours Et d'instrumens, villes et bours Ouyst on partout ressonner, Pour plus joyeusement mener Et entrer cellui es citez C'yert, affin que desheritez Pas ne fussent par lui du tout, Et Olophernés tout a bout Faisoit tous leurs dieux jus abatre, Ou fussent d'or, ou d'alebatre, Puis faisoit partout commanderQue, " soubz peine de l'amander De corps, de chevance et d'avoir, Qu'autre dieu ne pensent avoir Ne prier, craindre, n'aourer, Ne par sacrefice honorer, Se Nabugodonosor non, Qui tant estoit de grant renon ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 216)
[9] auquel Senecque dist : Ta parolle ne soit pas neant mais tousjours pour conseiller, ou introduire, ou commander ou admonnester. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 168)
[10] Et doit on savoir que pou, si que dit Senecque, se doit entendre parleure ce n'est à l'une de cinq fins, c'est assavoir ou pour enseigner aultrui, conseiller et introduire à bien faire, ou pour faire demande afin d'estre enseigné ou conseillié, ou pour commander ce que est de raison et à qui il appartient, ou pour faire rapors de honnorables choses et vraies. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 170)

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