| [1] | Se partirent icelles armes à l'honneur des parties, et, à la verité, ce furent armes aussi bien combatues et aussi fierement, et autant de coups donnez sur le corps d'ung cousté et d'aultre, que j'en veiz depuis nulles; (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 331) | | [2] | Et furent cestes armes combatues l'an dessusdit par ung jeudy huictiesme d'aoust, environ cinq heures du vespre. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 331) | | [3] | Ce fut rapporté au juge et à l'entrepreneur, lequel dit qu'il estoit content, mais le juge dit en effect qu'il n'avoit povoirde son prince que de veoir les armes faictes et combatues selon le contenu des chappitres, signez et seelez par messire Jaques de Lalain, qui disoient que le venant de dehors devoit requerir nombre de coups, et que pour veoir et juger armes en nombre de coups estoit il ordonné juge, et non aultrement; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 177) |
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Attestation de 