C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de combattre dans 7FMR 
112 attestations 
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[1] Et ne venoit point en intention de combattre, comme par plusieurs foys il m'a compté et dit en parlant de ces matières. (COMM., I, 1489-1491, 18)
[2] En la presence dudict conte de Sainct Pol fut choisy lieu et place pour combattre audict Longeumeau et arresté entre eulx que ledict conte de Sainct Pol se retireroit à Longeumeau, ou cas que le roy vint. (COMM., I, 1489-1491, 19)
[3] Comme j'ay dit, le conte du Maine ne se sentant assez fort pour les combattre, deslogeoit tousjours devant eulx en s'aprochant du roy. (COMM., I, 1489-1491, 20)
[4] Et en conclusion, quelque chose qui luy fust dict et oppiné, il delibera de ne combattre point, mais seulement se mectre dedans Paris sans soy approcher de là où les Bourguygnons estoyent logéz. (COMM., I, 1489-1491, 21)
[5] et de ce petit que j'ay veu n'en viz jamais qui eussent meilleur voulloir de combattre, qui me semble ung bien bon signe et grant resconfort. (COMM., I, 1489-1491, 23)
[6] Messire Philippes de Lalain s'estoit mys à pied, car entre les Bourguygnons lors s'estoyent les plus honnoréz que ceulx qui descendoyent avecques les archiers, et tousjours se y en mectoit grant quantité de gens de bien, affin que le peuple en fust plus asseuré, et combattre myeulx, et tenoient cela des Angloys, avecques lesquelz le duc Philippes avoit fait la guerre en France durant sa jeunesse,qui avoit duré trente deux ans sans trèves, mais le principal faiz portoient les Angloys, qui estoient riches et puissans et en ce temps avoyent saige roy, le roy Henry, bel et très vaillant, qui avoit saiges hommes et vaillans, et de très grans capitaines comme le conte de Salbery, Talbot et autres dont je me tais, car ce n'est point de mon temps, combien que j'en ay veu des reliques; (COMM., I, 1489-1491, 23)
[7] Nul ne desiroit plus de combattre. (COMM., I, 1489-1491, 33)
[8] Incontinent on y envoya d'autres, et une heure après, se remettoit chascun en son estat de combattre. (COMM., I, 1489-1491, 36)
[9] Et à la vérité, ce que le roy y avoit mys de gens, ce n'estoit que pour battre nostre ost d'artillerie, et non pas en intention de combattre, car il ne vouloit rien mectre en hazard, comme j'ay dit ailleurs, nonobstant que sa puissance fust très grande pour tous tant qu'il y avoit de princes ensemble; (COMM., I, 1489-1491, 65)
[10] Excepté ce jour, ne congneu jamais que on eust esperance de combattre, mais ceste fois chascun se y actendoit. (COMM., I, 1489-1491, 72)

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