| [1] | Et se a la fin desdictes X coursses, ou trois lances bien rompues, Dieu eust gardez les corps de loyal essoine, le IJe jour aprés ilz combatroient a pyé dix poux de lances sans reprinse, puis seront repris pour changier bastons, c'est assavoir haiches pareilles, desquelles ilz combatront d'estoc, de mail, ou de taille, ainsin que mieulz leur plaira, sans reprise, X autres coups. (LA SALE, J.S., 1456, 145) | | [2] | et de l'autre costé, où vous verrés qu'ilz seront les plus foibles et le plus à vostre advantaige pour les assaillir, vous ferés marchier le surplus de vostre puissance à pié par ce bout là, qui assembleront et combatront avec eulx; (BUEIL, I, 1461-1466, 156) | | [3] | car noz asles combatront bien les leurs et les garderont bien, se Dieu plaist, qu'ilz ne nous donneront point d'empeschement sur les costez. (BUEIL, II, 1461-1466, 200) | | [4] | Et sans faulte ilz combatront qui y entrera à pou de gens, car ilz sont grant cantité de nobles gens selon leur estat et leur manyere. (6206, 151) | | [5] | Et est à entendre que se le venant de dehors choisit la hache, ilz combatront tous deux de la hache, et pareillement de l'espée. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 285) | | [6] | Et se ainsi est que mondit seigneur d'Estampes trouve lesditz infidelles, qui le fournissent pour son veu, c'est asçavoir de combatre deux contre deux, trois contre trois, quatre contre quatre, ou cinq contre cinq, et le plaisir de mondit seigneur et maistre estque je l'accompaigne, en ce cas je seray voulentiers l'ung de ceulx qui combatront avecques luy lesditz infidelles, par la maniere dicte, et ainsi que mondit seigneur l'entent. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 390) |
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Attestation de 