C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de coin dans 7FMR 
3 attestations 
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[1] Item, ung pou plus avant, en alant oultre, devant ladite fonteine de Siloë, a une grosse pierre a senestre main, laquelle est a maniere d'un pillier, assise au coin du chemy. (Voy. Jérus., c.1395, 20)
[2] et de celle atteinte fut parlé diversement, et disoient les uns que l'avantbras du conte avoit esté faussé, et d'aultres disoient, et croy qu'il fut ainsi, que ledit conte avoit accoustumé de courre d'ung coin de la lice et d'aborder sur son homme comme au millieu de la toille, et que de celle traverse ledit de Vauldrey, qui couroit du droit et du long de la toille, le veoit venir en croisée, le bras de la lance à la faulte de la garde, nu, et que de l'aultre course le luy avoit mandé le seigneur de Charny, luy conseillant qu'il courust du long de la toille. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 327)
[3] Et dit que ledit Jehan Jouye tailla les coings pour faireladite monnoye, est assavoir: le coin de dessoubz sur une petite englume là où ilz forgoient hannaps d'argent, et celui de dessus en la teste d'un martel à orfevre. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 481)
[4]Encor si ladite incision n'estoit couchee ne vuidee quepar un costé, ce sera le mieux, et que de l'autre costé soit seulementtaillee en bihais, en maniere d'un coin à fendre du bois :et puis par le bout amoderez les deux en maniere d'un fer delance. de la toille, et que de celle traverse ledit de Vauldrey, qui couroit du droit et du long de la toille, le veoit venir en croisée, le bras de la lance à la faulte de la garde, nu, et que de l'aultre course le luy avoit mandé le seigneur de Charny, luy conseillant qu'il courust du long de la toille. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 67 v°)
[5] Voyans doncques que les sauvages (comme le truchement estimoit) ne s'effarouchoyent point de nous, ains au contraire, tenans leurs rangs et leur ordre d'une façon admirable, continuoyent leurs chansons, en nous retirans tout bellement en un coin, nous les contemplasmes tout nostre saoul. (S746, 401)

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