C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cognut dans 7FMR 
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[1] Mais la royne, qui apris Hot d'Alixandre l'estature, Par une vive pourtraicture, Que son paintre ot de luy pourtraicte, Le cognut ; (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 56)
[2] et comme [il est escript] de l'empereur Trayan prealegué, que, une foiz, comme il fust ja montez sur son destrier pour aler en bataille, une femme vesve, grevée de tort, à lui venue complaignant, arrestast tout son ost, descendi du cheval et cognut du cas, donnant sa sentence droitturiere pour la veusve, vint unefois, nostre roy estant au chastel, que on dit Saint-Germain en Laye, une femme vesve, devers lui, à grant clamour et lermes requerant justice d'un des serviteurs des offices de la court, lequel par commandement avoit logié en sa maison, et cellui avoit efforciée une fille, que elle avoit. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 61)
[3] Le maistre d'ostel, qui cognut le bonvouloir du roy et la risee de la royne, et vist le petit Saintré entre les autres gentilz hommes, si l'appella et puis lui dist: "Petit Saintré, mon ami, comment est vostre nom? (LA SALE, J.S., 1456, 66)
[4]" Le seigneur de Saintré, qui tout ce eust oy et qui cognut bien la chose, se pensa et en soy dist que on ne lui rompist pas sa robe, qui pour bien veoir al farse que au premier prier se consentiroit. (LA SALE, J.S., 1456, 275)
[5]" Le seigneur de Saintré, qui cognut bien la moquerie, dist: "Ha! (LA SALE, J.S., 1456, 281)
[6] et veoit les alans et retournans, desquelx il cognoissoit grant foison, mais point n'estoit cognut, car nul ne se adonnoit à luy. (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 53)
[7] on ouvry le huys de la chambre et cognut l'escuier si tost qu'il le vey, et luy demanda: " Que voulez-vous? (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 54)
[8]Seigneurs, se ja ne vous meschiéce, Considerez l'entencion Et regardez l'occasion Que Clovis encontre moy quiert, Qui ma niéce a femme requiert, C'onques ne cognut en sa vie. (Mir. Clov., c.1381, 215)
[9]Cy commence un miracle de Nostre Dame de saint Alexis qui laissa sa femme le jour qu'il l'ot espousée pour aler estre povre par le pais pour l'amour de Dieu et garder sa virginité, et depuis revint chez son pére et la morut soubz un degré et ne le cognut l'en devant qu'il fu mort. (Mir. st Alexis, 1382, 281)
[10] Tindarides ne cognut pas ce signe, Car forme humaine pour ce faire ceda. (BAUDE, Dictz moraulx S., p.1450, 86)

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