C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cognurent dans 7FMR 
6 attestations 
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[1] Aulcuns Alixandre choisirent Et cognurent, car aultrefoiz L'orent veu ; (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 44)
[2]" Lesquelles paroles par Madame dictes en soubriant, les dames cognurent bien que combien fussent vrayes que n'estoient que pour farser. (LA SALE, J.S., 1456, 9)
[3] Les autres quatre barons poulains cognurent bien son grant duel, et a ce chascun qui mieulz le sceust dire se esforcerent de l'excuser. (LA SALE, J.S., 1456, 168)
[4] Item, les sains patriarches et les prophetes la cognurent par inspiracion du saint Esperit et ne la nouz exposerent pas clerement mais en figures et en paroles obscures. (ORESME, C.M., c.1377, 56)
[5] Et quant ilz cognurent et apparçurent les ennemis estre les plusfors, il fuyrent la mort et ce eslirent et amerent plus que a fuir laidureet vilonnie. (ORESME, E.A., c.1370, 213)
[6] sçavoir faisons que au jour d'hui par devant nous furent presens le dict seigneur et le dict Gilles, lesquelz cognurent avoir entre eux faict compte, accord et appointement, en telle maniere que le dict seigneur et les dessus dictz Colart de Pimont, Aubin Pepin et Jehan de Riville, escuiers, furent et demourerent quittes envers le dict Gilles de la dicte somme de quatre cens frans, sequestrée comme devant est declarée, sans ce que jamais il en puisse aucune chose demander, moiennant ce que le dict seigneur disoit avoir d'icelle somme de quatre cens franz et oultre ce la somme de cinquatre quatre livres dix solz emploiez à delivrer, acquiter et descharger les dictes terres des rentes et debtes qui estoient deues à Monsieur d'Estouteville ou à ses officiers, pour certain procez en quoy le dict Gilles estoit es ples de Cleuville traize livres dix solz; (6205, 404)
[7] Lesquelz prisonniers, après ce que separéement ilz orent esté fais jurer aus sains Euvangilles de Dieu de dire verité sur ce que dit est, et des autres choses que l'en leur demanderoit, cognurent et confesserent qu'ilz sont nez, c'est assavoir: Jehan de Warlus de la ville de Cambray, et Ameline d'environ la ville de Valenciennes; (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 159)
[8] Tellement que dés le lendemain, qu'avec la lime, feignans d'aller querir des farines et autres vivres, nous fusmes retournez en ce village, comme nous demandions aux sauvages le lieu où estoit le prisonnier que nous avions veu le jour precedent, il y en eut qui nous menerent en une maison, où nous vismes les pieces du corps du pauvre Antoni sur le Boucan : mesmes parce qu'ils cognurent bien qu'ils nous avoyent trompez, en nous monstrant la teste, ils en firent une grande risée. (S746, 373)

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