C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cognoissoient dans 7FMR 
12 attestations 
 Page /2 

[1] la raison Premiere fu pour l'achoison Du flun de Nil, qui regorgia Et crut tant que trop dommagia La contree, une foix, par quoy Les demourans la a requoy Ne cognoissoient de leurs champs, Qui furent l'un l'autre touchans, Bonne, ne faing, quant l'eaue traicte Se fu en son lieu et retraicte ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 118)
[2] Cilz de Galles respondirent qu'ilz estoient tenu de obeir au roy et à son commandement, et que souverainement à luy devoient-ilz foy et non au fort à aultruy, car ilz cognoissoient bien qu'il estoit leur royet leur sire; (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 49)
[3] Or se departirent le roy de Portingal et le duc de Lancastre d'Aurench et chevaulchierent ensamble, mais leur host estoient separez l'un de l'autre pour tant qu'ilz n'entendoient point l'un l'autre ne se cognoissoient. (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 88)
[4] Mais peut estre que ilz cognoissoient bien que c'estoient gens nouviaulx; (6206, 227)
[5] Ledit Marle respondiqu'il estoit po suffisant pour ledit office, et miex le cognoissoient autres que soy mesme, et combien que aucuns grans hommes ou temps jadis eussent refusé offices publiques, les autres les eussent receuz, comme Jeremie qui les refusa pour vaquer à contemplation, et Ysaie les receut pour laborer au bien publique, lui qui avoit tousjours laboré en son temps ou fait de justice et qui avoit bonne volenté de tousjours bien et loyaument servir le Roy, acceptoit ledit office en suppliant audit Seigneur que lui pleust avoir pour recommendé et le benignement supporter à ce commancement. (BAYE, II, 1411-1417, 130)
[6] fu admené en la chambre basse du clert dudit mons. le prevost, par Gilet de Loche, sergent à verge du Chastellet de Paris, Fleurent de Saint-Leu, comme prisonnier, pour ce que, par les maistres jurez et visiteurs des orfevres, lui fu dist que, en la grant boucherie de Paris, il avoit esté trouvez coppant le mordant de la sainture de un compaignon qu'il ne cognoissoient, lequel avoit icellui prisonnier prins le cousteau ou poing tout nu. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 201)
[7] ITEM, que pour ladite cause, et autres dessus declairées, ledit visconte print en ladite eglise ledit Hennequin, et le mist au belfroy de la ville de Saint-Quentin, ouquel il a esté prisonnier par l'espace de XV jours ou environ, et encor est, pendant lequel temps ledit visconte c'est informés dudit Hennequin, et de sa vie et estat, à plusieurs personnes, chevaliers et autres, qui le cognoissoient, adfin qu'il le peust traitier et mener par voye de justice ressonnable, et, après cela, examiné et questionné de paroles, et bien pau de fait, et a ledit Hennequin cogneu et confessé les chosses qui s'ensuivent: PREMIERS, dist que, environ la mi-aoust eut un an, il estoit passés en Engleterre en la compaignie de mons. l'amiral, avec plusieurs autres seigneurs; (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 382)
[8] protestans iceulx escoliers qu'ilz ne tendent que à fin civile, dient et depposent par leurs seremens, et par la bouche dudit maistre Pelerin, en la presence de Thevenin de Brenne, prisonnier detenu oudit Chastellet, que verité est que, après la Saint-Remi derrenierement passé, ot deux ans ou environ, en eulx en alant de Paris droit en Avignon, passans parmi la ville de Troyes, et en leurdit chemin, environ trois lieues au delà d'icelle ville, à l'entrée d'un petit bois dont ilz ne scevent le nom, trouverent illec Thevenin de Breyne, prisonnier detenu oudit Chastelet, de la personne duquel ostencion et veue leur fu faite, lequel prisonnier se acompaigna avec eulx, alerent un petit de chemin ensamble par ledit bois, et avec eulx survindrent à trois fois, l'un après l'autre, et incontinent après ce que ledit prisonnier fu arrivé avec eulx, trois autres compaignons, faignans que ilz ne cognoissoient li uns l'autre. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 138)
[9] Après laquele confession ainsi faite, pour ce que ledit prisonnier ne voult autre chose confesser, fu de rechief lyé à la question, en laquele, sanz autre contrainte, il cogneut et confessa que puis demi-an ençà, lui, Guillemin Drouet, son frere, demourant à la Magdalene, en ladite ville de Troyes, et un appellé Jehannin, cordouennier,homme marié, demourant à Saint-Estienne de Meleun, aagé de XXIJ ans ou environ, en venant eulx trois ensamble de la ville de Meleun en la ville de Nangis, trouverent en leur chemin, environ heure de prime, un homme que ilz ne cognoissoient, auquel homme ilz demanderent de l'argent, lequel fu refusant de leur en bailler; (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 215)
[10] Et requeroit que, se les dis Jehan le Cordouannier et Jehan Revetel cognoissoient et confessoient les choses dessus dites estre vraies, que par nous il feussent condempnez a garnir la dite maison et mettre en tel point et estat que les dis religieux y peussent trouver a prendre et gaigier pour leur dite rente ou crois de cens pour le temps present, pour celui a venir, et pour les arreraiges qui leur en estoient deuz, ou se ce non, que tel droit comme les dis Jehan le Cordouannier et Jehan Revetel avoient et povoient avoir en la dite maison feust par nous adjugié aus dis religieux ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 82)

12 attestations 
 Page /2 
Fermer la fenêtre