C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de clost dans 7FMR 
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[1] Et quant le plaisir de Dieu fut a soy vouloir prendre son ame par la mort qui n'esparne nullui, le jour qu'elle clost la porte a la clarté de ses yeulz, il estoit le plus vaillant chevalier tenu du royaume de France, lequel de sa vie naturelle fina ses jours en la ville du Saint Esperit sur le Rosne, aiant prins tous les sains sacremens, ainsin que tous bons et vrais chrestiens doivent faire, et en faisant sa sepulture en terre fut trouvé un petit escrinet ouquel avoit un brevet qui disoit: Cy reposera le corps du plus vaillant chevalier de France, et plus, que pour lors sera. (LA SALE, J.S., 1456, 308)
[2] Mais Craincte tire par derriere, Qui clost et serre la taniere, Disant que ce me seroit honte, Car ce n'est pas chose avenant Que cueur soit si entreprenant Qu'il face deshonneste enqueste. (Narcissus, p.1426, 286)
[3] Car de ça le bois de Saint Clost Avez sanz nombre d'anemis Qui se sont ja en conroy mis Et vous pensent a assaillir, Et ne cuident mie faillir A vous hui prendre. estoit le plus vaillant chevalier tenu du royaume de France, lequel de sa vie naturelle fina ses jours en la ville du Saint Esperit sur le Rosne, aiant prins tous les sains sacremens, ainsin que tous bons et vrais chrestiens doivent faire, et en faisant sa sepulture en terre fut trouvé un petit escrinet ouquel avoit un brevet qui disoit: Cy reposera le corps du plus vaillant chevalier de France, et plus, que pour lors sera. (Mir. Amis, c.1365, 9)
[4] Je m'en voys Jusques a Saint Clost, vers le boys, Veoir l'estour. sont ja en conroy mis Et vous pensent a assaillir, Et ne cuident mie faillir A vous hui prendre. estoit le plus vaillant chevalier tenu du royaume de France, lequel de sa vie naturelle fina ses jours en la ville du Saint Esperit sur le Rosne, aiant prins tous les sains sacremens, ainsin que tous bons et vrais chrestiens doivent faire, et en faisant sa sepulture en terre fut trouvé un petit escrinet ouquel avoit un brevet qui disoit: Cy reposera le corps du plus vaillant chevalier de France, et plus, que pour lors sera. (Mir. Amis, c.1365, 10)
[5] Icy se clost le testament Et finist du povre Villon. (VILLON, Test. M., 1461-1462, 150)
[6] La .LXXVe. euvangille Se ung homme marié habite a la femme de son compere ou autre mariee, il meismes se clost la porte de paradiz encontre au visage, ne jamais ne lui est ouverte, fors par cellui a qui tant a offensé, quant il luy a pardonné. vie naturelle fina ses jours en la ville du Saint Esperit sur le Rosne, aiant prins tous les sains sacremens, ainsin que tous bons et vrais chrestiens doivent faire, et en faisant sa sepulture en terre fut trouvé un petit escrinet ouquel avoit un brevet qui disoit: Cy reposera le corps du plus vaillant chevalier de France, et plus, que pour lors sera. (Ev. Quen. II, c.1466-1474, 132)
[7] Plinius dit que c'est une petite beste comme une lesarde et que elle vit de l'air non pas pur et senz mangier, et tout son sanc est ou cueret es yex qui sont gros et ne les clost onques. (ORESME, E.A.C., c.1370, 132)
[8] Et premierement Mescreance clost et bande les yeulz de l'ame, affin que jamais ne voye ou congnoisce misericorde pour l'appeller. (GERS., Purif., 1396-1397, 66)
[9] Cedit jour, a esté ordonné que le decret adjugé au viconte des Quesnes à l'encontre de la dame de Mailly, selon l'arrest autre foiz fait et pronuncié ceans, ne sera baillé de cy à un mois audit viconte et pour cause, mais audit mois, se ladicte de Mailly n'a fourny le premier appoinctement, c'est assavoir, qu'elle ait assiz reaument et de fait IXxx libvres de rente bien et convenablement à la dame d'Argonnes, et qu'elle ait baillié et miz reaument et de fait en la main de la Court la somme de XIJc XXXIIJ libvres tournois, ledit decret sera baillié audit viconte, et m'a commandé la Court, oudit cas, que je ly delivre, et si fors clost la Court icelle de Mailly de impetrations ou allegations quelxconques au contraire, et aussy ly denie toutes audiences qu'elle requerroit au contraire. (BAYE, II, 1411-1417, 144)
[10] A paine la bouche me clost, se ce ne feust la cronicque qui siouvertement en parle, et meismement d'un chevalier nommé messire Rogier de Mortemer. (JUV. URS., T. crest., c.1446, 145)

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