C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de chez dans 7FMR 
6 attestations 
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[1] et ne se tenoit point ailleurs que chez ledict conte de Charroloys, et tousjours, après le conseil, disnoyent tous ensemble et se mectoient les ducs de Berry et de Bretaigne au banc, le conte de Charroloys et le duc Jehan de Callabre devant. (COMM., I, 1489-1491, 61)
[2] Aussi le devoit bien faire à d'aucuns et à tous, puisque c'estoit chez luy. conseil, disnoyent tous ensemble et se mectoient les ducs de Berry et de Bretaigne au banc, le conte de Charroloys et le duc Jehan de Callabre devant. (COMM., I, 1489-1491, 61)
[3] mais que, à la verité, l'on s'esbahissoit assez, et mesmement chez luy, de quoy si petiz personnaiges comme les deux dessus nomméz s'empeschoyent de si grant matière, et que c'estoit chose dangereuse, encores ayant affaire à roy si liberal comme cestuy-cy. (COMM., I, 1489-1491, 78)
[4] Comme le roy approcha de la ville de Peronne ledict duc luy alla au devant, bien fort accompaigné, et l'amena en la ville et le logea chez le receveur, qui avoit belle maison, et près du chasteau; (COMM., I, 1489-1491, 126)
[5] Par trois jours fut departy le vin que l'on donnoit chez le duc, pour les gens qui en demandoient, à coups de congnée, car il estoit gellé dedans les pippes et failloit rompre le glasson, qui estoit entier, et en faire des pièces, que les gens mectoient en ung chappeau ou en ung pannyer, ainsy qu'ilz vouloient. (COMM., I, 1489-1491, 168)
[6] Ledict duc, qui se trouvoit despourveü de gens (car il avoit departye ceste assemblée dont j'ay parlé naguères et renvoyéz tous chez eulx), fut bien esbahy de ces nouvelles: pour quoy incontinent passa la mer et tyra en Arthois et tout droit à Hesdyn. (COMM., I, 1489-1491, 176)
[7] et si ne sçavoit comment il pourroit contenter celui qui s'estoit retiré chez luy, assavoir le roy Edouard, dont il avoit espousé la soeur, et s'estoient faict frères d'ordre, car il portoit la Toison et ledict duc portoit la Jartière. (COMM., I, 1489-1491, 207)
[8] Davantaige, je les vouldroye tost oyr et despescher, car ce me semble très mauvaise chose que de tenir ses ennemys chez soy. (COMM., I, 1489-1491, 219)
[9] Et, combien que les autres pourroient faire le semblable chez moy, si ne laisserois-je point à envoyer, et à ceste fin entretiendroye toutes praticques sans en rompre nulle pour tousjours trouver matière. (COMM., I, 1489-1491, 220)
[10] et print congé ladicte dame du roy, qui la fist bien conduyre jusques chez elle et luy fist rendre ses enfans et toutes ses places et bagues et tout ce qui luy appartenoit. (COMM., II, 1489-1491, 128)

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