C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cheulx dans 7FMR 
185 attestations 
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[1] Si ne les vouloit pas renforchier de cheulx qui le devoient servir, et ymagina encoire ledit conte de Foix ung point très raisonnable, car messire Espaing de Lyon le me dist quant je fuy à Ortais; (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 140)
[2] Tout quoys se taisoit pour veoir la fin de ceste besoingne, et enqueroit songneusement à cheulx qui tailliet en estoient de savoir, comment ces traittiez se portoient et quel part ces gens d'armes se trairoient, quant de leursfors departy seroient. (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 188)
[3] Le XXIme chappitre etc. ouquel est demonstré la impossibillité de la reconciliacion des angelz cheulx. (CRAP., Cur Deus, De arrha B.H., c.1450-1460, 255)
[4] Et aussi comme les angelz sont cheulx sans occasion d'aultres les induisans et nuisans, mais de leur meisme sont cheulx, ainsi les convendroit il relever de leur meismes, sans aide de aultres coadjuvant ; (CRAP., Cur Deus, De arrha B.H., c.1450-1460, 256)
[5] Et aussi comme les angelz sont cheulx sans occasion d'aultres les induisans et nuisans, mais de leur meisme sont cheulx, ainsi les convendroit il relever de leur meismes, sans aide de aultres coadjuvant ; (CRAP., Cur Deus, De arrha B.H., c.1450-1460, 256)
[6] teles vestures ont cheulx qui sont banis de Paradis». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 14)
[7] mais a jouer me delitoie, et en nous de ce vengance prenoient cheulx qui samblables choses faisoient ; (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 14)
[8] Dont de cheulx qui donnent aux simples a aprendre choses subtiles estdit en Ysaÿe ou .XIXe. chapitre «Confondus soient ceulx qui ouvroient ploians le lin et tinssans choses subtiles». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 22)
[9]Briefveté amanieree est requise en enseignant, car comme dist saint Jherome sur Jheremie ou second livre : «Trop longue parole traveille les sens de cheulx qui lisent, et briefveté sans maniere retranche le desir de ceulx qui estudient». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 24)
[10] Avec che en toute doctrine est proufitable la doulceur de la parole, afin que, par auchune delectation, elle attraie cheulx qui l'escoutent et qu'elle les face plus ententifz. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 25)

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