C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cherront dans 7FMR 
12 attestations 
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[1] Lettres cherront en quoy on trouvera Dedens enclos Noms ou signes dont tout sera desclos Ce qu'il tenoit secret, couvert et clos. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 188)
[2] Vous cherront les plumes des elles Au temps que vous devez voller Et mener jubilacion? (Sots gard., a.1488, 99)
[3] Ilz ne cherront point pour escourre. (Copp. lard., a.1488, 169)
[4] Tirez les, si cherront a terre. (Roy sotz, c.1450-1500, 229)
[5] Par toy lé mort susisteront, Par toy lé femme enfanteront, Par toy les aveugle verront, Par toy boyteus se dresseront, Par toy de fièvres garriront, Par toy les mus sy parleront, Par toy mortalité cherront, Par toy tempeste cesseront, Par toy lé dyables s'enfuyront. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 172)
[6] -- Pour estre quitte des poirions, il fault prendre du filé que une femme a filé tandis qu'elle couche d'enfant et en loyer les poirions, et incontinent ilz cherront tous sans aucune remede. cherront, Par toy tempeste cesseront, Par toy lé dyables s'enfuyront. (Ev. Quen. II, c.1466-1474, 144)
[7] Et se tu me demandes par quoy ilz se tendront en hault et ne cherront point en ceste tristesse melancolieuse, ie tay respondu deuant que ce sera parleesse spirituelle par laquelle ilz se soustendront. (CIB., p.1451, 219)
[8] Le quarte consideracion si est que vous seul ne povés pas tout faire: et est neccessaire que pour faire loys et ordonnances en justice et savoir quant les cas cherront en clemence et misericorde, il fault que ayez conseil, et c'est aussi grant descharge pour vostre arme et honneur et pour vous. (JUV. URS., Verba, 1452, 309)
[9] Dont d'auchuns forsenéz par charnalité comme sans frain de raison est dit en Naüm le prophete ou .IIIe. chapitre : «Ilz cherront en corps pour la multitude des fornications de la fole fenme belle et agreable». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 292)
[10] Et ou saint Jerome a interpreté «ilz cherront», les .LXX. interpreteurs ont mis «ilz seront enfermés oumalades». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 292)

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