| [1] | ainssi ne peult science proufiter se elle n'est acompaignie de la concorde de chely qui le donne et de cheli qui le recoit». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 53) | | [2] | » Et comme dist Varro : «Philosophie n'a cure de chely qui prent anuy en doctrine recepvant, mais elle semont chelui qui l'acompaigne joyeusement». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 56) | | [3] | Car de legier toutes les paroles dittes en la leçon ne pourroient estre recueillies, ne les paroles de tout ung livre, mais souffist pour chely qui aprend de retenir en memoire la somme de l'intention et de la matere. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 70) | | [4] | Du second dist Prosper ou livre de la Vie contempplative ou prologue : «Le tractation des questions, s'elle ne instruit pas le corage de chely qui treuve, toutefois elle excercite ou abilite l'engin du querant». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 139) |
|
|
Attestation de 