C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cerne dans 7FMR 
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[1] Si les gouverne Et enyvre du vin de sa taverne Amours qui clos les tient dedens son cerne, N'ilz ne scevent huis, porte ne posterne Par ou saillir. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 159)
[2] Or avise ci qui vourra: Pour ce le souverain lien Esperitel, oy et retien, C'est la saincte exortacion, Que tu n'aies entencion De toy bouter dedenz ce cerne. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 41)
[3] unde venis cerne, quo vadis, te quoque sperne . (LA SALE, J.S., 1456, 18)
[4] Tantost aprés vint monsieurs d'Orleans, Avecques luy aucuns grans chambellans, Maistre d'ostelz et prince de Salerne, Des gentilz hommes fors, hardiz et vaillans, Bons combatans, souverains assaillans Quant bon besoing les induyt et prosterne Et qu'il affiert consister en leur cerne Gloire et honneur par effort immortel. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 138)
[5] car par son cerneAu jour d'ui chascuns se gouverne. (MACH., R. Fort., c.1341, 97)
[6] Car je vi la tout en un cerne Viële, rubebe, guiterne, Leü, morache, michanon, Citole et le psalterion, Harpe, tabour, trompes, naquaires, Orgues, cornes, plus de dis paires, Cornemuses, flajos, chevrettes, Douceinnes, simbales, clochettes, Tymbre, la flaüste brehaingne, Et le grant cornet d'Alemaingne, Flajos de saus, fistule, pipe, Muse d'Aussay, trompe petite,Buisines, eles, monocorde Ou il n'a c'une seule corde, Et muse de blef tout ensemble. (MACH., R. Fort., c.1341, 145)
[7] Cils Dieus qui tout paist et gouverne Le centre dou ciel et le cerne, Le soleil tient haut en ardure Et la lune bas en froidure, C'est li sires qui si bien nombre Qu'il scet des arainnes le nombre Et combien la mer a de goutes Et le nom des estoiles toutes. (MACH., C. ami, 1357, 48)
[8] Partout fait son cerne et sa serche. (MACH., C. ami, 1357, 86)
[9] Et en effect lesdiz Suixes se mirent en deux bendes, dont le conte d'Abstain et les gouverneurs de Fribourg et de Zurich avoient l'une, et les advouez de Berne et de Cerne l'autre, et, environ midi, marcherent tous à une foiz, c'est assavoir une bende devers la riviere, et l'autre tout le grant chemin à venir de vers ledit Neufville audit Nancy. (ROYE, Chron. scand., II, 1460-1483, 37)
[10] Et quant il lui aura dit ce que elle lui aura demandé, que hastivement elle lui donnast de ce que elle tendra, soit terre, herbe, fiens, chenevuys ou autre chose quelconques, et que, ce fait, elle prenist de l'eaue benoite sur li et yssist hors dudit cerne ainsi fait par elle; (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 292)

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