C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de celz dans 7FMR 
7 attestations 
 Page /1 

[1] Et non mie que par emprunter hernoiz l'un de l'autre et monteure frauduleusement fussent receuz à la monstre de celz qui n'y sont convenables, si que souvent ont fait. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 134)
[2] et, pour ce, non obstant que de sa seigneurie et autorité peust faire et ordener de tout à son bon plaisir, quant venoit à conseillier sus l'estat du royaume, il appelloit à son conseil les bourgois de ses bonnes villes, et meismement des moyenes gens, et de celz du commun, affin qu'il leur moustrast la fiance qu'il avoit en eulx, quant par leur conseilvouloit ordener ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 28)
[3] Lesquelles choses je vous ay dictes pour estre vray ami de Dieu et un des hommes renommez de ce royaume, voire du monde, de celz du jour d'uy. (LA SALE, J.S., 1456, 48)
[4] Furent au Conseil messieurs du Grant Conseil, messieursles presidens, les evesques de Paris, Noyon, Bayeus, Meaulz, Mascon, du Puy et d'Apt, et messieurs des IJ Chambres, le procureur du Roy et les advocas du Roy ou Chastellet sur le fait du couvent des Cordeliers de Paris, ouquel pour une sedicion entreulz, à cause d'une demolition d'unes estables qu'avoit fait faire le provincial de France intrasepta conventus, que estoit contre les ordonnances de leur ordre, comme disoient celz d'estrange langue d'icellui couvent, et pour ce de fait, le mercredi XXIIIJe de ce moiz, après minuit, la demolirent ycelz estrangiers; (BAYE, I, 1400-1410, 10)
[5] Ce jour, le conte de Jogny et IIJ ou IIIJ autres chevaliers sunt venus en la Court, en requerant que la Court feist publier certeinnes lettres royaulz, par lesquelles le Roy faisoit et ordonnoit monseigneur le duc de Bourgoigne, general conseillier sur le fait de ses finances, et que sanz lui ne fut rien ordonné ne fait es dictes finances, et que ce qui feroit, apellez celz que voudroit des generaulz en tel nombre que voudroit, fu fait, nonobstant les lettres données par avant à monseigneur le duc d'Orleans, frere du Roy, comme plus à plain puet apparoir par le registre des lettres qui sunt ou livre des Ordonnances de ceans. (BAYE, I, 1400-1410, 37)
[6] Ce jour, après ce que dit est, depuiz que celz qui n'estoient de la Court issirent hors de la Chambre du Parlement, furent leues aucunes lettres au Conseil, impetrées par aucuns sur l'office de conseiller vacant en ladicte Chambre par le trespas de feu maistreRenault d'Amiens, et pour ce que l'eure estoit breve et il y avoit VIIJ ou IX impetrans, ceste besoigne fu remise à un autre jour. (BAYE, I, 1400-1410, 49)

Fermer la fenêtre