C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cely dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] Espandez vo plour seur mi Pour moy faire plus doloir, Et je vous di Que mi anemi Seront assevi, S'il voient partir par mi Mon dolent cuer sans espoir,Qui m'a guerpi Et mis en oubli Pour estre à cely Qui n'a que faire de li Et qui ne le vuet avoir. (MACH., Les lays, 1377, 437)
[2] Or entendez: n'y ait cely Qui compagnye ne me tiengne De vous touz et qu'avec moy viengne A brief parler. partir par mi Mon dolent cuer sans espoir,Qui m'a guerpi Et mis en oubli Pour estre à cely Qui n'a que faire de li Et qui ne le vuet avoir. (Mir. Pierre Changeur, c.1378, 243)
[3] A cely mon pere pardonneEt d'abondant grace luy donne. (Pass. Auv., 1477, 137)
[4] et par le plus grant nombre apres est determinee l'ympossibilité de ceste puissance, quar en cely ne puet elle ne en quelconque plus grant. (ORESME, C.M., c.1377, 192)
[5] Et de tant comme ilest plus mauvais, de tant le seult l'en plus accuser, aussicomme cely qui ne fait rien fors pour soy. (ORESME, E.A., c.1370, 477)
[6] Colart Grimaut, ramené, a fait certeinne requeste par escript contre le procureur du Roy pour cause du pont Saint Michiel, en concluant selon icelle, et dit que par certeinnes chartres qu'il a devoit le Roy soustenir les fondemens et les faire visiter : sur quoy somma par avant la demolition dudit pont les gens du Roy, mesme que notorium erat que ledit pont et edifice de dessus s'avaloit, et si n'y ont point remedié les gens du Roy, dont est desert, pour quoy le Roy en recompensation welt qu'il puist edifier sur le pont qui y sera fait ou lieu de l'autre, et sur le petit pont de pierre, et ce nonobstant a l'en crié l'edifice du pont, et a esté miz à priz à IJ vies, à XXXIJ libvres de rente sur l'edifice de l'un seul, en prestant argent pour ledit pont refaire, si offre à parfaire ledit pont Saint Michiel de boiz dedans mi-caresme, et cely de pierre dedans J mois après Pasques, pour quoy s'oppose que la chose ne soit baillée à autre, et aussi pour LX libvres que percevoit sur certeinnes maisons que l'en dit estre abatues par l'auctorité de la Court. (BAYE, I, 1400-1410, 255)
[7] Or est-il ainsy que cely qui a fait ladicte escripture conclu que le duc de Bourgoigne du fait avenu ne doit point estre reprins, mais le doit le Roy guerredonner en honneur, en amour, en richesses et autres biens, comme fit Dieu, S. Michiel et Phinées. (BAYE, II, 1411-1417, 261)
[8] Ce qui est ou ciel nous enseignera cely duquel, par les hommes au pardehors, par signes nous sommes amonestéz, afin que a lui convertis au pardedens soions enseigniés, lequel amer et congnoistre est vie beneuree». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 29)
[9]" Einsi les doivent amener jusques a cely qui forhue. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 176)

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