C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de celles dans 7FMR 
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[1] Or est a juger selon ces premisses l'estat et infelicité des princes qui, pour acquerir seigneurie ou pour demourer seigneurs de celles qui leur appartiennent, sont faiz serfs et subgiets a gens de diverses affections, de contraires voulentez, et a pourveoir et avoir l'ueil a choses repugnans et aux cas qui soudainement leur sourviennent soit en leur avantaige, quant bien en veulent user, ou en leur préjudice, se obvier n'y scevent. (CHART., Q. inv., 1422, 47)
[2] Si fais ma premisse jouxte la tresgriefve sentence de Valere, que discipline de chevalerie estroitement retenue et rigoureusement gardee maintiennent les seigneuries acquises et si acquiert celles qui sont a l'encontre defendues. (CHART., Q. inv., 1422, 54)
[3] Ainsi aloient Comme celles qui se douloientEt riens fors penser ne vouloient, Ne point ensemble ne parloient; (CHART., L. Dames, 1416, 208)
[4] Et les trois autres avisoie Pareillement Qu'elles voulsissent telement La conforter, qu'allegementPrenist pou a pou bellement, Quant une d'elles Respondit: " Las, je suy de celles, Qui tant ay de douleurs morteles Que nulle autre ne les a teles; (CHART., L. Dames, 1416, 230)
[5] Se maistrise y a, elle est mienne Par la loy d'Amours ancïenne, Qui l'ordonna Pour les dames et leur donna Maistrise, ou moult noble don a, Et par ce leur guerredonna Les biens qui yssent De leur grace quant s'eslargissent En pitié vers ceulx qui languissent D'amours dont les cuers amaigrissent Des plus puissans Qu'Amours fait vrays obeïssans Par hommage, et recongnoissansCelles dont leurs biens sont yssans Comme maistresses Et treshonnourables princesses, Qui des amoureuses richesces Font escharcetez ou largesces Si qu'elles veulent, Dont quant l'un chante, autres s'en deulent. (CHART., L. Dames, 1416, 237)
[6] Et celles qui pas ne les haient Ne croient mie qu'elles n'aient Leur cuer entier, Dont toutes n'ont pas un quartier. noble don a, Et par ce leur guerredonna Les biens qui yssent De leur grace quant s'eslargissent En pitié vers ceulx qui languissent D'amours dont les cuers amaigrissent Des plus puissans Qu'Amours fait vrays obeïssans Par hommage, et recongnoissansCelles dont leurs biens sont yssans Comme maistresses Et treshonnourables princesses, Qui des amoureuses richesces Font escharcetez ou largesces Si qu'elles veulent, Dont quant l'un chante, autres s'en deulent. (CHART., L. Dames, 1416, 285)
[7]A l'entrer fu bien recueilli Des dames et des damoiselles, Et de celles bien acueilly Qui toutes sont bonnes et belles; (CHART., B. Dame, 1424, 334)
[8] Bien avoit a mon gré visé Entre celles que je vi lors, S'il eust au gré du cuer visé Autant que a la beauté du corps; (CHART., B. Dame, 1424, 336)
[9] Et toutevoyes nous peult bien esperance conforter es choses de ça bas, en tant qu'ellez se pevent raporter acelles de lassus. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 87)
[10] Ou est celui qui baillera fourme de doctrine sur le souverain docteur, ou quellez plus agreables parolles vouldras tu prendre a le prier, que celles par qui il veult estre requis? (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 162)

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