| [1] | Et par elles est gouverné Le corps, voire empire ou regné, Voire trestout l'univers monde, Tant comme il dure a la reonde, Et, s'il ne l'est, le doit il estre, Ainsi l'ordonna Dieu celestre. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 32) | | [2] | Si le maintiengne Dieu celestre ! (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 41) | | [3] | La est souvraine Rethorique, Car le roy celestre autentique A juge et propice orateur,De haulte majesté traicteur, De puissance insuperable, Discucion investigable Et de substance inflexible A ce que chose non loisible Par le premier blasme et repreuve, Par le second tout bien appreuve, Et par le tiers de toute chose Ordene, gouverne et dispose. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 109) | | [4] | La doulceur, qui ou son doit estre, Est beatitude celestre ; et propice orateur,De haulte majesté traicteur, De puissance insuperable, Discucion investigable Et de substance inflexible A ce que chose non loisible Par le premier blasme et repreuve, Par le second tout bien appreuve, Et par le tiers de toute chose Ordene, gouverne et dispose. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 110) | | [5] | La belle espere intelligible, C'est Dieu celestre, c'est le monde, De qui il veult qu'on lui responde ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 111) | | [6] | Pour ce qu'a Dieu vorent semblables Estre, si devindrent deables Ceulx qui angelz souloient estre, Et ainsi paye Dieu celestre Les orgueilleux, quoy qu'il attende ! (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 135) | | [7] | Si prie de cuer Dieu celestre Qu'il lui en doint venir a chief, Car moult en est a grant meschief. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 266) | | [8] | A toutes ces choses pensoie Et maintes autres, et disoie A moy meismes que Dieu celestre Tel discorde sueffre en terre estre Pour le prouffit d'omme mortel ; (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 19) | | [9] | Mais tu es moult bien avoiee, Dieu mercis, selon ta puissance, Car tu as congié et licence De monter jusqu'au lieu celestre. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 72) | | [10] | Adont pour monter ou celestre Lieu, me seignay de ma main destre, Car moult me sembla merveilleux Le passage et tres perilleux ; (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 73) |
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Attestation de 