C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de celes dans 7FMR 
10 attestations 
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[1] Archeprestrises, reclusages, Cures, celes et hermitages Y a de trestoutes manieres, Aspres, estroites et legieres. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 124)
[2]] Mais s'il sourdent de Desplaisir, J'ayme mieulx que tu lez me celes, Assez et trop j'en ay de telles ; (CH. D'ORLÉANS, Rond. C., 1443-1460, 314)
[3] Donques sont celeschoses que l'en dit communelment en ceste matiere. me celes, Assez et trop j'en ay de telles ; (ORESME, E.A., c.1370, 365)
[4]Car aucunes fois pour celes delectacions les gens sontnegligens de garder leurs corps et leur possessions. (ORESME, E.A., c.1370, 515)
[5] C'est a savoir, celes qui sont es operacions que il faitselon vertu. et leur possessions. (ORESME, E.A.C., c.1370, 404)
[6] (7.8) Evandres, jadis roys de Peloponie, fuitis de son paÿs, a celi temps habitoit en iceli liu et governoit celes contrees plus par sens et par auctorité que par impere ne par seignorie ; (BERS., I, 1, c.1354-1359, 12)
[7] Dont il avint car, puis quant Romulus devisa le peuple romain en trente cours, il imposa as dictes cours les nons des dites Sabines, (13.7) mes ne set on pas de celles trente fames, comme elles furent esleuez a ce que leur nons fussent imposés au cours, comme dit est, car trop en i avoit plus grant nombre que trente, ou se l'un regarda celes qui plus avoient de eage ou qui par a plus dignes personez erent marieez, ou se elles furent esleuez par sort. (BERS., I, 1, c.1354-1359, 22)
[8] Item, et avec ce, en ladicte ville de Montereau, ou au plus près d'icelle que faire se pourra bonnement, sera fait, construit et edifié par le Roy et à ses fraiz et despens, une eglise, couvent et monastere de Chartreux, c'est assavoir pour ung prieur et douze religieux, avec les cloistres, celes, reffectouers, granges, et autres edifices qui y seront neccessaires et convenables, et lesquelz Chartreux, c'est assavoir ung prieur et douze religieux seront fondez par le Roy de bonnes rentes et revenues annuelles et perpetueles, et bien admorties souffisamment et convenablement, tant pour le vivre des religieux, entretenement du divin service, comme pour le soustenement des edifices du monastere et autrement, et jusques à la somme de huit cens livres parisis de revenue par an, à l'ordonnance et par l'advis de très reverend pere en Dieu monseigneur le cardinal de Saincte Croix, ou de celui ou ceulz qu'il vouldra à ce commectre. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 212)
[9] Les vesvez et les vierges le doivent ensievir, les mariees le doivent anter, et celes qui nuisent ou sont de mauvais gouvernement le doivent cremir, et les prestrez le doivent recepvoir». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 401)

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