| [1] | Castor et Polus ceulx nommez Furent chevaliers renommez. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 68) | | [2] | En ce tendiz, que Pompee yere En Orïant, o son host fiere, Castor, chevalier moult notable, De Mitridatés conestable, Se rebella contre son maistre, Dit que plus ne veult a luy estre, Car trop ert plain de felonye ; (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 20) | | [3] | .IIII. filz, qu'il hot, de l'accort Castor furent, pour ce que mort Et occiz ot, par faulx corage, .II. de leur freres, en grant rage ; (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 20) | | [4] | Dont yssirent Polux, Castor, Heleine Que Jupiter ses enfans approuva. (BAUDE, Dictz moraulx S., p.1450, 86) | | [5] | Polux aprés, et Castor la suivirent. (BAUDE, Dictz moraulx S., p.1450, 86) | | [6] | et si luy fu decreté par le senat une statue a cheval, laquelle fu assise par devant le temple de Castor. (BERS., I, 9, c.1354-1359, 82) | | [7] | Mais le temps est ore venu que pluseurs princes sont moult convoiteux, et si est ainsi que les princes convoiteux resemblent au castor qui destruit l'omme du tout quant il prant guerre a lui, comme dit Solinus en son .IIIe. livre, .XXXVe. chapitre. (7007, 353) | | [8] | Phanagorius, Castor et Philarcus furent, entre autres, les familliers dudit Metridates; (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 81) | | [9] | Encor y a-il quant aux bestes, que les anciens nommerent dedouble vie, c'est à dire, qui vivent aussi bien dans les eaux, quedehors, la louttre, le castor (qui veritablement a la queuëchargee d'escaille ainsi que le poisson) bievre, et le loir, ausquelsnous adjousterons la tortue delices des princes et grosseigneurs : combien que la plus singuliere et de plus grandesaveur et requeste soit celle que l'on nomme nemorale, et quifait son terrier dans les bois, richesse des païs de Provence etLanguedoc. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 93 r°) | | [10] | Les chenilles ne gasteront les vignes, si la serpe de laquellel'on couppera et taillera les vignes, est oincte avec sang debouc, ou detergee avec la peau de Castor. (qui veritablement a la queuëchargee d'escaille ainsi que le poisson) bievre, et le loir, ausquelsnous adjousterons la tortue delices des princes et grosseigneurs : combien que la plus singuliere et de plus grandesaveur et requeste soit celle que l'on nomme nemorale, et quifait son terrier dans les bois, richesse des païs de Provence etLanguedoc. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 113 r°) |
|
|
Attestation de 