Attestation dans les corpus textuels   Attestation de casses dans 7FMR  4 attestations   Page 1/1  [1] Tiens les bien, car si tu les casses, A l'oste feras desplaisir. (LA VIGNE, S.M., 1496, 206) [2] Sachent tous que par devant nous vint en sa propre personne Jehan de Betancourt, maistre de l'artillerie du Roy nostre seigneur en son chastel de Meleun, et recogneut avoir eu et receu de Richart de Brumare, garde du clos des galées dudit seigneur a Rouen, par mandement du dit seigneur, pour mettre au dit chastel pour la garde et deffense d'icelluy et du paiz d'environ, c'est assavoir cent arbalestes d'if a un pié, cent baudriez de fil, cent panais touz nuefs paings des armes de France et deux cens casses de viretons, desquelles choses le dit Jehan se tint pour bien contant et agreé par devant nous et en quitta et clama quitte le dit Richart et touz ceulx a qui quittance en puet appartenir. (6205, 322) [3] Et tantost la dicte vente et garantie passée et accordée par lui et la dicte ma dame Jehanne sa femme en leurs personnes, en la maniere que dessus est dit, le dit acheteur sera tenu de lui rendre et restituer ces presentes lettres comme casses, nulles et de nulle vertu et effet, promettant le dit sire de Bethencourt par son serement et foy de son corps pour ce bailler es mains des diz notaires comme en la nostre souveraine pour le Roy nostre dit seigneur les promesses, garanties et toutes et chascunes les choses dessus contenues et excriptes avoir agreables, les enteriner et acomplir de point en point sans jamais aler, venir, faire ou dire encontre par lui ne par autres, par voye d'erreur, d'ignorance, par raison de decevance ne autrement comme que ce soit ou peust estre; (6205, 389) [4] , ou a ses gens pour lui les parties d'artillerie qui s'ensuivent, c'est assavoir XX aubalestres grosses tant de tour que de guelle, ung canon, X casses de bon trait fin et XII guelles, six doubles et six sangles. (8205, fol. 118v) [5] Encor sera bon en faire une pour semer les graines de citrons,orenges, limons, pousilles, grenades, lauriers, myrtes,dattes : et puis qu'ils sont difficiles à faire venir en ceste partpar ce que l'air n'y est marin ne si propre, et faut bien adviseren les plantant, ou semant, que l'on mette le plus petit boutà mont, et que l'on ne les assee de plat : et quand les citronset les semblables semences seront venus et levez, il les fauttransplanter en casses qui se puissent rouler çà et là, pour lesdefendre de trop grand chaud et froid, et les couvrir et mignarderselon les saisons, comme sera dit cy apres. lui ne par autres, par voye d'erreur, d'ignorance, par raison de decevance ne autrement comme que ce soit ou peust estre; (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 37 v°) [6] Pour les avancer de croistre, il les faut semer en casses oumannequins, ou autres grands vaisseaux qui se puissent porteret rouller ou trainer de lieu à autre au soleil, et mettre à l'abryet à couvert hors du danger du mauvais vent et des gelees. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 44 v°) [7] LE parterre (comme ha esté dit cy devant) estbasty et acoustré pour la seule recreation dupere de famille, laquelle ne pourroit estre dutout si grande à sentir les fleurs et herbes odorantes,qu'à veoir les arbres et arbrisseauxtant estrangers que domestiques, qui expirentnon seulement une odeur plus plaisante sanscomparaison que les herbes, mais encor la plus grand part d'iceuxapportent fruits de grande admiration, comme grenadiers,citronniers, orengers, limoniers, pomalles, palmiers, figuiers,oliviers, et autres semblables : parquoy afin que ne delaissionsrien en nostre parterre, dequoy le pere de famille nepuisse prendre ses esbats, parlerons sommairement de la culturedes arbres, et arbrisseaux qui doivent estre plantez en iceluydesquels les uns sont dediez aux berceaux dont est circuitle parterre à sçavoir cypres, genevre, savinier, cedre, rosiers,buys et autres, les autres sont semez ou plantez et transplantezen couches propres ou vaisseaux et casses, à sçavoir laurier,meurte, palmier, pin, citronnier, orenger, limonier, figuier,olivier et autres semblables, qui seront cy apres declarez. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null)) [8] Ils ayment à estre enair chaud et humide, en terroir rare et tendre,pres la marine et où l'humeur abonde : et quiest une chose contre le naturel de tous autresarbres, ils se nourrisent au vent de midy : et reçoivent dommagede celuy de Septentrion, parquoy si on veut nourrir etapprivoiser ces plantes en ces païs qui sont aucunement froids,faut sur tout choisir un lieu au parterre qui regarde au midy,pres des murailles, afin qu'ils ayent un rampart contre les partiesSeptentrionales, ou pour plus grande et asseuree commoditéles faut planter ou semer dans demy tonneaux refenduz,vaisseaux de terre appropriez, qui sont delices des princes etgros seigneurs, ou bien des casses larges par bas, et peu estroictespar le haut, basties d'aiz de fente, fort bien colez et ajancezensemble, de sorte que rien ne se puisse rejetter ou desmonterpar-ce que la terre, par le souvent arroser surmontetousjours le bois de quelque sorte qu'il soit. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 51 v°) [9] Ils ayment à estre enair chaud et humide, en terroir rare et tendre,pres la marine et où l'humeur abonde : et quiest une chose contre le naturel de tous autresarbres, ils se nourrisent au vent de midy : et reçoivent dommagede celuy de Septentrion, parquoy si on veut nourrir etapprivoiser ces plantes en ces païs qui sont aucunement froids,faut sur tout choisir un lieu au parterre qui regarde au midy,pres des murailles, afin qu'ils ayent un rampart contre les partiesSeptentrionales, ou pour plus grande et asseuree commoditéles faut planter ou semer dans demy tonneaux refenduz,vaisseaux de terre appropriez, qui sont delices des princes etgros seigneurs, ou bien des casses larges par bas, et peu estroictespar le haut, basties d'aiz de fente, fort bien colez et ajancezensemble, de sorte que rien ne se puisse rejetter ou desmonterpar-ce que la terre, par le souvent arroser surmontetousjours le bois de quelque sorte qu'il soit. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 51 v°) Fermer la fenêtre