C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cap dans 7FMR 
19 attestations 
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[1] Pource qu'on n'oit ma povre voix umbreuse, Je suis la dame sur toutes tenebreuse, Hors mon paÿs myse en captivité, Faisant mes plains de voix tremebundeuse, Plus que nulle aultre de tristesse habundeuse Qui vestibule sur mon cap tivité Hors de maniere et de cointiveté ; (LA VIGNE, Ress. chrest. B., 1494, 110)
[2] cap de saint Anthoine ", distrent-ilz entre eulx, " comment ceste ville de Clermont est bien prendable. (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 202)
[3] Tamains homs grant painne y endure, Car d'estre armés de piet en cap, Ce n'est mie a porter de drapUn garnement fet par revel. (FROISS., Pris. am. F., 1372-1373, 127)
[4] Et au point du jour ferrons a un petit port qui n'est gueres loing de cy, que on appelle le cap Saint Andrieu. (ARRAS, c.1392-1393, 131)
[5] Et cependant s'en vint Guyon et le maistre de Rodes et leurs gens arriver au Lymacon, dont le cappitaine fut moult joyeux et leur dist comment Sarrasins ont prins terre et comment leur navire estoit ou hable du cap Saint Andrieu. (ARRAS, c.1392-1393, 132)
[6] Et a ce mot, se rampaingnent en la mer et s'esploitent tant qu'ilz voient le port du cap et le navire grant a merveille. (ARRAS, c.1392-1393, 132)
[7] Et le maistre lui recorde toutes les adventures, de branche a autre, qui leur estoient avenues, et la derreniere du navire au gallaffre qu'ilz avoient desconfite au cap Saint Andrieu, et comment ilz l'avoient arse. (ARRAS, c.1392-1393, 133)
[8] Et ramenerent les VJ. vaisseaulx au cap Saint Andrieu avec eulx. (ARRAS, c.1392-1393, 139)
[9] Mais cy se taist l'ystoire de Gieffroy et de ses gens et parle du gallaffre de Bandas et du soudant de Barbarie, qui fu nepveu du soudant qui fu mort en la bataille soubz le cap Saint Andrieu, au dessoubz de la Montaigne Noire. (ARRAS, c.1392-1393, 213)
[10] et comment il assiégea le duc Baudouin et la pluspart de ses gens dedens une ville appellée Cap, et se rendit le duc Baudouin à la merci du Roy, qui fut doux et begnin et l'envoya, lui, ses gens et leurs biens, et les fist conduire honnourablement. (BUEIL, II, 1461-1466, 138)

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