C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de camus dans 7FMR 
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[1] (Cellui dompta, a la fonteine, Jadis, a Thebes, Cadmus) Mains a rendus matz et camus! (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 117)
[2] Monstrez nous ou est son hostel Et nous le ferons bien camus. rendus matz et camus! (Mir. st Nic. juif, c.1480-1500, 114)
[3] CLXX Item, le camus seneschal, Qui uneffoys paia mes debtes, En recompence mareschal Sera pour ferrer oyes, canectes, En luy envoyant ces sornectes Pour soy desennuyer ; (VILLON, Test. M., 1461-1462, 138)
[4] les gens de ce païs sont tous camus et les visaiges rousz et très pou barbe, et sont faulx et mauvaises gens sans nulle pitié. (6204, 78)
[5] Ce jour, environ VIIJ heures, furent pronuncez les arrests par messire P. Boschet, et après furent leues les ordonnances, et en la fin, pour ce que le jour saint Crespin les cordouanniers de Troyes avoient esté devent l'uiz de monseigneur le premier president in turba et tumultu, pour ce que son queuz avoient deu dire lors qui dansoient par la ville, que c'estoit la feste aux savetiers, et l'un desdiz cordouanniers lui dist qu'il estoit un camus punaiz, et pour ce espia à une autre foiz icellui cordouannier près de l'ostel dudit president devent l'eglise Nostre Dame, entendent que dansoient, et bailla d'une espée et fit plaie audit cordouannier, de quoy la feste fu tourblé, et s'en vindrent après icellui queuz juques à l'uiz dudit president, comme si voulsissent le assallir oudit hostel, ledit president estant en son hostel, et pour quoy tant leditqueuz que pluseurs furent emprisonnez, et après IIJ ou IIIJ jours delivrez, hors le plus coulpable desdiz cordouanniers et ledit queuz, fu dit ce dit jour que pour ce que à peinne que à l'occasion de telz festes n'avoit eu grans inconveniens commiz audit Troyes, la Court suspendi ycelz cordouanniers de tel feste de menestriers et de diners, non pas de la feste dudit saint Crespin à l'eglise, juques au plaisir d'icelle Court. (BAYE, I, 1400-1410, 48)
[6] Ce jour, la Court a donné congié à Hebert Camus d'aler aux nopces jusques à lundi prouchain inclusivement. (BAYE, I, 1400-1410, 65)
[7] Hebert Camus, procureur commiz par la Court à ladicte cause d'appel, dit qu'il n'a peu parler audit Gayant, ou Chastellet, car il est enfermé et enserré, la Court a ordonné que le conseil dudit Gayant parlera à lui. (BAYE, I, 1400-1410, 252)
[8] Au jour d'ui, ont esté commiz, du consentement de maistre Hebert Camus, procureur du duc d'Orleans, d'une part, et de maistre Race Pannier, procureur du conte de Nevers, d'autre part, les seigneurs cy dessoubz nommez à la garde des chasteaulx qui s'ensuivent : c'est assavoir, le sire d'Auffemont, à la garde du chastel de Coucy; (BAYE, I, 1400-1410, 271)
[9] Fait du consentement de maistre Michiel de Couhan, promoteur de la court dudit evesque, et de maistre Hebert Camus, procureur du viconte d'Acy. (BAYE, I, 1400-1410, 322)
[10] Ce jour, par appoinctement de la Court fait en la presence de maistre Regnault Rabay, conseiller du Roy nostre Sire et executeur du testament de feu messire Guillaume de Dormans, jadiz arcevesque de Sens, de maistre Herbert Camus, procureur de messire Guy Gourle, chevalier, et de madame d'Orgemont, de maistre Jehan de Warry, procureur de maistre Denis de Paillart et de maistre Jehan du Bois, procureur de messire Phelippe de Poictiers et de sa femme, et par commandement fait à moy Jehan Milet, notaire du Roy nostre Sire, cinq seaulx et un signet qui furent jadiz au feu evesque de Beauvais, nommé de Dormans, pesans un marc sept onces et demie, estans en une bourse et IIJ seaulx qui furent audit feu arcevesque, pesans un marc IIJ onces V esterlins, estans en un coffret de cuir fermant seellé du signet de feu messire Pierre d'Orgemont, jadis evesque de Paris, ont esté cassez par Jehan Mignot, orfevre sur le Pont à Paris, prisié le marc six frans IIIJ solz parisis, tout baillié par moy Milet audit Rabay. (BAYE, I, 1400-1410, 325)

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