C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de calais dans 7FMR 
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[1] En sa jeunece, ou temps du roy Charles, estoit communement à grant armée es frontieres des anemis, et par lui et sa compagnie, comme dit est, fu prise la ville d'Ardre et pluseurs autres forteresses, lorsqu'il estoit alé devant Calais, et aussi furent autre part plusieurs chasteaulx. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 145)
[2] et, est chose vraye que le bon duc avoit ferme esperance et voulenté de partie du dit aide et aussi de ses propres deniers aler, l'année de son trespassement, en propre personne, à grant host, et les communes de ses bonnes villes de Gant et d'autres de Flandres, assigier la forteresse de Calais et tel peine y mettre que rendue fust prise au roy de France. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 150)
[3] Item, en la frontiere de Picardie, contre les Anglois, qui estoient à Calais,à Ardre, à Guines et es autres forteresses anglesches, tenoit grant quantité de gens d'armes et d'arbalestiers. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 214)
[4] Au temps dessus dit, envoia le roy Charles le ducde Bourgoigne, son frere, et le seigneur de Clisson, à grant compagnie, à la forteresse de Calais, et avec ceulz, qui devant y estoient, ala le dit duc et sa compagnie, le .IIIe. jour de septembre, devant la ville d'Ardre, qui, le .VIIe. du dit moys, fu rendue au roy, et le dit jour fu pris le chastel de Bauliguen et la forteresse de Planque rendue, et depuis fu pris le chastel de Bondiroit, puis se parti le duc de Bourgoigne pour la saison d'yver, qui approchoit, mais il laissa grans garnisons de gens et vivres et toutes choses convenables es chasteaulx et forteresses, que ot conquises ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 232)
[5] Ses officiers d'armes, par son commandement, ostèrent lesdictes bannyères des lances en quoy ilz estoient, et furent toutes envoyées à Boulongne sur la Mer, à dix lieues de Calais. (COMM., I, 1489-1491, 120)
[6] Et endementiers que ainsin se mectoit en point, il manda le duc des Normans, herault au roy d'Engleterre, lui signiffier son pas, suppliant qu'il ne lui voulsist reffuser les treves de deux mois, c'est assavoir du VXe jour d'avril jusques au XVe jour de juing, par les pays de Guineset de Boulayne, françois et anglois, et les frontieres de Calais, afin que chascun y peust venir. (LA SALE, J.S., 1456, 174)
[7] Lors la nouvelle fut a Guines et a Calais que Saintré estoit venus, et par toutes les frontieres, dont le conte de Boucquincan, qui ja estoit a Calais pour commencier les armes, saichant la venue de Saintré, fut bien content. jour d'avril jusques au XVe jour de juing, par les pays de Guineset de Boulayne, françois et anglois, et les frontieres de Calais, afin que chascun y peust venir. (LA SALE, J.S., 1456, 175)
[8] Lors la nouvelle fut a Guines et a Calais que Saintré estoit venus, et par toutes les frontieres, dont le conte de Boucquincan, qui ja estoit a Calais pour commencier les armes, saichant la venue de Saintré, fut bien content. jour d'avril jusques au XVe jour de juing, par les pays de Guineset de Boulayne, françois et anglois, et les frontieres de Calais, afin que chascun y peust venir. (LA SALE, J.S., 1456, 175)
[9] Pour ce temps, il i avoit une tres bonne ville, et sciet entre Boulongne et Calais. (FROISS., Chron. D., p.1400, 100)
[10] Et se departirent de lors lieus, et vinrent li auqun a Wissant, et li aultre a Calais. (FROISS., Chron. D., p.1400, 112)

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