C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de boyaux dans 7FMR 
3 attestations 
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[1] C'est ma propre nature D'inferer pleurs, detranchans les boyaux, Et tormenter la pure creature. (ANTITUS, Poés. P., c.1500, 10)
[2] Ainssy fut navré par maniere que a bien peu les boyaux de son ventre fussent yssus de dehors, car adonc a celluy coup Olivier employe toute sa force pour mettre fin en luy que si longuement l'avoit combattus. (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 61)
[3] Puis soit decoupé et boyaux et pain et tout quant que le sangler avoit dedanz soy et meslé ensemble. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 188)
[4]Pour amasser toutes les cloportes et autres semblablesbestes en un lieu, à fin de les tuer, faut estendre sur le lieu oùelles abondent principalement, les boyaux et entrailles d'unebrebis n'a guere tuee, qui ne soyent aucunement nettoyez,mais encor pleins de leurs ordures, deux jours apres, tu lestrouveras toutes amassees en cesdits boyaux. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 55 v°)
[5]Pour amasser toutes les cloportes et autres semblablesbestes en un lieu, à fin de les tuer, faut estendre sur le lieu oùelles abondent principalement, les boyaux et entrailles d'unebrebis n'a guere tuee, qui ne soyent aucunement nettoyez,mais encor pleins de leurs ordures, deux jours apres, tu lestrouveras toutes amassees en cesdits boyaux. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 55 v°)
[6]Pour amasser toutes les cloportes et autres semblablesbestes en un lieu, à fin de les tuer, faut estendre sur le lieu oùelles abondent principalement, les boyaux et entrailles d'unebrebis n'a guere tuee, qui ne soyent aucunement nettoyez,mais encor pleins de leurs ordures, deux jours apres, tu lestrouveras toutes amassees en cesdits boyaux. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 55 v°)
[7]Pour amasser toutes les cloportes et autres semblablesbestes en un lieu, à fin de les tuer, faut estendre sur le lieu oùelles abondent principalement, les boyaux et entrailles d'unebrebis n'a guere tuee, qui ne soyent aucunement nettoyez,mais encor pleins de leurs ordures, deux jours apres, tu lestrouveras toutes amassees en cesdits boyaux. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 55 v°)
[8]IL est tout certain que les poissons qui habitentà la mer ou aux fleuves et rivieres courantes ontplus grande commodité de pasture, que ceuxqui sont enfermez aux estangs, mares, fosses etviviers, car ceux qui ont liberté en pleine mer, etfleuves, trouvent tousjours quelque apast que leur apportel'eau courante, outre la diversité des petits poissons, qui sontnourriture des grands : mais les autres detenus et enserrez enun gardoir ne peuvent conquester aucune pasture : sera doncbesoing quelquesfois de leur jetter toute sorte de menuspoissons, des boyaux et entrailles des grands, des figues tendresdecouppees, des noix quassees, des cormes molles bouillies,fourmage frais, lopins de pain bis, quelques fruits hachezmenu, toute sorte de poissons salez, et autre semblable viande. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))
[9] Ou bien prenez sang de beuf, de chevre, de brebis et deporceau, et la fiente qui est aux petits boyaux d'iceluy, thym,origan, pouliot, sarriette, marjoleine, ail, et lye de bon vin, autantde l'un comme de l'autre, de la graisse ou de la moelledesdits animaux, tant que vous verrez qu'il y en aura assez,pilez chacun à part, puis les meslez ensemble et en formez despilules, que jetterez au lieu où voudrez assembler les poissonsune heure au paravant, puis y jettez les fillets. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 96 r°)
[10] Que si là dessus quelqu'un dit, si sans imiter Tantalus mourans ainsi de soif au milieu des eaux, il ne seroit pas possible en ceste extremité de boire, ou pour le moins se refreschir la bouche d'eau de mer : je respond,que quelque recepte qu'on me peust alleguer de la faire passer par dedans de la cire, ou autrement l'allambiquer (joint que les branslemens et tourmentes des vaisseaux flotans sur la mer ne sont pas fort propres pour faire les fourneaux, ny pour garder les bouteilles de casser), sinon qu'on voulust jetter les trippes et les boyaux incontinent apres qu'elle seroit dans le corps, qu'il n'est question d'en gouster, moins d'en avaler. (S746, 138)

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