C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de battus dans 7FMR 
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[1] et incontinent furent pris et liés de cordespar les mains et battus par les dessus dits forestiers, sergens et bastart, jusques à grant effusion de sanc; (6205, 382)
[2] Etpour ce doncques que je desire que ces deux points d'amour et de crainte de Dieu vous demeurent en l'entendement et ferme propoz, je vous donray aucuns exemples de princes plus grans [de vous], pareil de vous et mendre de vous, à qui la fortune n'a pas laissié, pour noblesse de sang, pour grandeur de linage, ne pour puissance terrienne, que, soubz la permission divine, ilz n'ayent esté flagellez et battus de diverses maladies et bien souvent plus grandes, plus horribles et plus abominables que n'ont les laboureurs et povres gens champestres qui vivent miserablement, au contraire de vous, messieurs les princes, qui vivez delicieusement, et ne vous peut l'on assouvir de bons vins et de delicieuses viandes, et dont bien souvent il advient que les corps, par trop de repletion, tumbent en inconvenient ou de langheur ou d'abregement de vie. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 177)
[3] Las ils n'en ont point eus De plus aimant vrai honneur, que icelui : Qui mieux aima là mourir en vertus, Qu'en déshonneur suivre plusieurs battus. (R014, 214)
[4] On doit commencerà les dresser dés l'aage de huit à dix mois, car si un basset n'entreen terre à son an, à peine luy pourra on jamais faire entrer :et ne les faut rudoyer quand on les dresse, ne que les tessonsles blessent en terre d'autant que s'ils y estoyent battus ou outragezils n'y voudroyent plus retourner : parquoy on ne doitjamais faire entrer les jeunes bassets en terriers où il y ait desvieux tessons ou regnards, que premier ils ne soyent dressez, etqu'ils n'ayent leur an accomply. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 149 r°)
[5] Et de fait, à fin que nous en essayissions de toutes les façons, nous fusmes en ces endroits là battus du vent de Nord nordest, qui est presque droite Bize, lequel nous causa une telle froidure que durant plus de quinze jours nous n'eschaufasmes aucunement. (S746, 530)

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