C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ayt dans 7FMR 
100 attestations 
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[1] Puisqu'elle commence a grever, Ja ne finera de trouver Voyes et tours, par mains debas,Tant que du tout ayt mis au bas Aussi bien les bons que les pires, Ou soient regnes ou empires. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 255)
[2] Si vous diray de celle marche, Ou temps Ysaac, le patriarche, Qui fu filz Abraham no pere, Et qui puis .II. filz d'une mere A une ventree a eü, (Ce fu : Jacob et Esaü) A son vivant, si com j'entens, Et ja ot Ysaac .L. ans, Que premierement commença Cestui regne, qui puis en ça Trop grandement est acreü, Combien que maint maulx ayt eü. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 276)
[3] Il avoit jà accoustumé ses aises et ses plaisirs douze ou treize ans plus que prince qui ayt vescu de son temps, car nulle autre chose il n'avoit en pensée que aux dames, et trop plus que de raison, et aux chasses et à bien traicter sa personne. (COMM., I, 1489-1491, 203)
[4] aussi avoit-il le personnaige propice à ce faire autant que homme que jamais je veïsse: car il estoit jeune et beau autant que nul homme qui ayt vescu en son temps. (COMM., I, 1489-1491, 203)
[5] C'est grand richesse à ung prince d'avoir en sa compaignie ung saige homme et bien seür pour luy et le croyre et que cestuy-là ayt loy de luy dire vérité. (COMM., I, 1489-1491, 205)
[6] Il desiroit grant gloire, qui estoit ce qui plus le mectoit en ces guerres que nulle autre chose, et eust bien voulu resemblerà ces anciens princes dont il a tant esté parlé après leur mort: hardy autant que homme qui ayt regné de son temps. (COMM., II, 1489-1491, 154)
[7] Et aussi, comme j'ay dit, semble que ceste perte ayt esté esgalle comme ilz ont esté en felicité. (COMM., II, 1489-1491, 156)
[8] Toutesfois le sens de nostre roy estoit si grand que moy ne autres, qui fussent en la compaignie, n'eussions sceü veoir cler en ses affaires comme luy-mesmes faisoit: car, sans nulle doubte, c'estoit ung des plus saiges princes et des plus subtilz qui ayt regné en son temps. (COMM., II, 1489-1491, 171)
[9] Au fort, il me semble que Dieu n'a créé en ce monde ny homme ny beste à qui il n'ayt fait quelque chose son contrairepour le tenir en humilité et en craincte. (COMM., II, 1489-1491, 207)
[10] Car ung prince ou homme, de quelque estat que ce soit, ayant force et auctorité par dessus les autres, s'il est bien litteré et qu'il ayt veü et leü, cela l'amendera ou empirera: car les mauvais empirent de beaucoup sçavoir et les bons en amendent. (COMM., II, 1489-1491, 211)

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