C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de avyons dans 7FMR 
5 attestations 
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[1] Nous avyons grant nombre de blesséz, et la pluspart fort descouraigéz et espoventéz, craignant que ceulx de Paris avec deux cens hommes d'armes, qu'il y avoit avec eulx, et le mareschal Joachin, lieutenant du roy en ladicte cité, sortissent et que l'on eust affaire de deux costéz. (COMM., I, 1489-1491, 35)
[2] De gens de pied avyons-nous grand nombre et de bons. (COMM., I, 1489-1491, 59)
[3] Et tout incontinent ouysmes sonner la cloche dudit palais, dont nous eusmes très grant joye, et se estaignit le bruyt que nous avyons ouy à la porte. (COMM., I, 1489-1491, 114)
[4] Nous avyons lors beaucoup de choses secrettes parmy nous, dont fussent venuz de grans maulx en ce royaume et promptement (si cest appoinctement ne se fust trouvé, et bien tost), tant du costé de Bretaigne que d'ailleurs; (COMM., II, 1489-1491, 45)
[5] Après qu'il eut disné, se tira à part et ne fut pas content du petit exploict que ledict monsr l'admiral et moy avyons fait, disant qu'il avoit envoyé maistre Olivier, son barbier, à Gand, qui luy mectroit ceste ville en son obeissance, et Robinet Doudenfort à Sainct Omer, lequel y avoit des amys et qui estoyent gens pour prendre les clefz de la ville et mectre ses gens dedans, et d'autres qu'il nommoit en d'autres villes grandes, et me faisoit combattre de ce propoz par monsr du Lude et par autres. (COMM., II, 1489-1491, 170)
[6] Après qu'il eut disné, se tira à part et ne fut pas content du petit exploict que ledict monsr l'admiral et moy avyons fait, disant qu'il avoit envoyé maistre Olivier, son barbier, à Gand, qui luy mectroit ceste ville en son obeissance, et Robinet Doudenfort à Sainct Omer, lequel y avoit des amys et qui estoyent gens pour prendre les clefz de la ville et mectre ses gens dedans, et d'autres qu'il nommoit en d'autres villes grandes, et me faisoit combattre de ce propoz par monsr du Lude et par autres. (COMM., II, 1489-1491, 170)
[7] Car nous trouvasmes tout l'or en pouldre comme l'y avyons mys, fors qu'elle estoit quelque peu plus desliee. (S184, 112)
[8] et que ceulx que nous y avyons mys d'argent fin s'estoient vollez en fumee. (S184, 113)

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